1. Muse stagiaire


    Datte: 20/06/2019, Catégories: fh, grosseins, Collègues / Travail amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral nopéné, jeu, merveilleu,

    ... qui menait à la salle de réunion. C’est là, dans un environnement cosy, que nous recevions nos gros clients. Aux murs étaient affichées nos réalisations les plus célèbres : la campagne pour le champagne Tintinger, les magasins Mocy’s, etc. Tout était fait pour en mettre plein la vue et crier aux visiteurs que notre agence était la meilleure. Et ça fonctionnait ! David ouvrit la porte et m’invita à entrer. Le nez collé à la vitre, Jessica contemplait la vue panoramique sur la Skyline de Manhattan. Je ne voyais d’elle que ses longs cheveux blonds ondulant jusqu’à ses reins, initiant la courbe de ceux-ci. Courbe qui se poursuivait en galbe parfait de ses fesses modelées dans un jean moulant et encore accentué par d’immenses talons. — Jessica ? Voici Michaël, le créateur de votre visuel. Elle se tourna et je fus pris de vertige, incapable de prononcer la moindre parole, tétanisé. Pétrifié ! Ce visage… ce corps… c’étaient ceux de Thalia ! — Bonjour, me dit-elle en s’avançant pour me serrer la main. Elles avaient la même voix. De véritables clones. — J’adore ce que vous avez imaginé : c’est exactement ce que nous voulions. Bravo !— M… merci, Madame…— Appelez-moi Jessica, je vous prie. Je serais ravie de vous inviter à déjeuner ; ce serait l’occasion que vous m’expliquiez comment vous êtes parvenu à ce résultat. David m’encouragea d’un revers de la main, comme pour me ...
    ... dire « Vas-y mon gars ! ». J’acceptai et me retrouvai quelques minutes plus tard face à elle dans un restaurant italien à l’angle de la 7ème et de la 43ème. Comme lors de ma rencontre avec Thalia, je fus incapable de lancer le moindre sujet de discussion. Heureusement, comme elle, Jessica était tout à fait apte à l’alimenter seule. Quand elle me demanda des explications sur mon processus créatif, je pris un crayon dans ma poche et commençai à griffonner son visage, lui attribuant l’expression d’extase découverte chez Thalia. — C’est moi ? demanda-t-elle après un moment. Je ne répondis pas et poursuivis mon croquis. Lorsqu’il fut achevé, ses joues étaient rosies par une évidente montée de chaleur. Je sortis ma gomme et commençai à effacer la plupart des traits. — Non, ne faites pas ça ! Je veux le garder !— Je vous en ferai un autre… Je poursuivis ainsi mon gommage jusqu’à ne laisser que les quelques traits qui constituaient à présent le logo de son entreprise. — Vous voulez dire que… c’est moi qui vous ai inspiré ?— En quelque sorte… Sans crier gare, elle se leva et se jeta sur moi pour m’embrasser avec fougue. C’était il y a trois ans. Depuis, Jessica et moi filons le parfait amour. Je bosse encore, un peu, mais ses revenus sont suffisants pour que je puisse me consacrer à mon art. Elle pose pour moi et je la dessine, je la peins, je la sculpte. Elle est ma muse. 
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