1. Souvenirs d'une autre vie (4)


    Datte: 21/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... attention. Et loin d’arranger mes affaires, cette constatation me donne encore plus de raisons de bander. — Je n’aime pas le piano, mais je dois reconnaître que tu es doué… Tu as appris où à jouer de cette façon ? — Ma mère est bien meilleure musicienne que moi et depuis tout gamin, j’ai tripoté le piano à la maison. Ça aide ! J’ai passé des heures sur les touches, avec elle… — Elle n’en a pas fait son métier ? — Non ! Du reste elle n’a plus joué depuis que papa est mort. J’ai beau essayer de lui faire comprendre que la musique aide à oublier… — Il en avait de la chance cet homme-là, d’être aimé comme ça… — Il y a comme des regrets dans ta voix, tu aimes quelqu’un toi ? — Et si c’était le cas, tu penses vraiment que c’est à toi que je m’en ouvrirais ? Rêveur va ! — Bon, vous deux-là, vous n’allez pas encore vous bouffer le nez… merde Yohann… et toi Anne-Marie tu n’es pas plus sympa que lui ! Qu’est-ce que vous avez tous les eux à être aussi cons que cela ? Je baisse les yeux. Je crois qu’elle aussi et quand elle me regarde, je crois déceler dans ses yeux comme une petite larme. Je ne sais plus trop comment réagir. Et ce pincement que je ressens là au fond de moi, c’est quoi ? Une incroyable envie de serrer cette petite chose qui me fait face n’est seulement mise en sommeil que par la présence de J-B. Je me dis que ma vie déraille singulièrement depuis quelques semaines. Il y a bien des compensations, la première étant de ne plus être puceau. La seconde c’est que j’ai adoré ...
    ... faire l’amour et que la personne avec qui je l’ai fait soit ma propre génitrice, ne change rien à l’affaire. Maintenant je ne comprends plus mes réactions face à la frangine de mon meilleur ami. Un petit quelque chose vient de me faire mal. Cette tristesse sur son visage, alors que son frère nous tançait vertement, j’aurais voulu la consoler. Mais sans doute n’attend-elle pas après moi pour être secourue. Si j’ai bien saisi, elle a quelqu’un dans son cœur, ou dans sa vie. Et donc je dois me faire une raison, elle ne sera pas pour moi. Mais Bon Dieu comme je voudrais l’aimer, et pas seulement dans le sens de la mettre dans mon plumard. Après un diner léger fait de pizzas commandées au village, je vais me coucher. Derrière mes paupières closes, elles dansent les femmes de ma vie. Elles se font face et je suis bien incapable de choisir entre celle d’ici plus jeune et l’autre de chez moi, plus âgée. Mon sexe est resté d’une dureté qui me surprend. Je ne sais pas quoi faire et dans le noir, après avoir cueilli au fond d’une de mes poches de flute, un paquet de mouchoirs jetables, je fais la seule chose qui puisse me soulager. Tout d’abord, je m’astique lentement, puis mes mouvements s’amplifient et ils se font plus cadencés ! Je rêve des fesses de l’une et de la bouche de l’autre, je les imagine même les deux ensembles, me donnant un plaisir sans nom. Il est bien évident qu’à ce rythme-là, mes pensées soutenues engendrent vite une montée en pression de ma queue. Le jet se retrouve ...
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