1. Souvenirs d'une autre vie (4)


    Datte: 21/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... catapulté dans le papier blanc qui éponge le tout. Vide de partout, je peux m’endormir en priant que le réveil sera aussi… abrupt que la dernière fois et gageons que cette fois, je ne cracherai pas dans… un kleenex ! La nuit est sans rêve recensé. Au petit matin, une envie naturelle m’oblige à me lever. Le jour ne perce pas les volets baissés et c’est donc à tâtons que je file vers les toilettes. À mon retour, en passant devant la chambre d’Anne-Marie, je m’arrête un instant indécis. C’est à ce moment que sa porte, devant laquelle je stationne s’ouvre soudain. Ébouriffée, en nuisette transparente, elle aussi marque un temps d’arrêt. Il faut avouer aussi que je n’ai pas pris la peine de me vêtir. — Salut ! C’est toi qui fais ce ramdam ? — Euh… je ne suis pas habitué à votre maison. — Chut ! Tu vas réveiller tout le monde… Et elle me prend par le poignet, et m’entraine vers ma chambre. Dès notre entrée dans celle-ci, elle ferme la porte et me plaque contre le mur. Sa bouche vient à la rencontre de la mienne et cette fois, je ne résiste plus. C’est délicieusement malhabile, c’est presque enfantin. Inutile de dire que je cherche plus profondément ce baiser qu’elle balbutie. Elle suit le mouvement et enlacés, nous tournons sur nous-mêmes, ce qui sans en avoir l’air nous amène… au bord du lit. Il ne faut guère plus de deux minutes pour que nous trouvions une position allongée qui me ravit. Je fouille sous cette nuisette qui me gêne encore. Elle lève enfin les deux bras et la ...
    ... ridicule barrière s’envole. Sous sa bouche, alors que sa respiration et la mienne s’affolent, je caresse avec délectation tout ce qui peut l’être. Je vais sans itinéraire prédéfini de son cou à ses joues, de celles-ci à ses seins, et elle ne se dérobe pas. Quand enfin mes doigts explorent un pubis aussi lisse qu’un œuf, qu’ils tentent une intrusion dans cette coquille tellement attirante, elle se cabre un peu. — Doucement, doucement s’il te plait ! Tu es le premier à… visiter. — Tu… tu veux dire que tu es… vierge ? — Ça te surprend tant que cela ? Évidemment que je le suis ! Alors je veux bien… mais soit cool ! Ses mots sonnent comme de cloches qui tintent dans ma caboche. Je tremble d’impatience, mais je joue le vieil habitué et je viens d’abord avec ma bouche, lécher son minou glabre. Je salive un maximum alors que je glisse ma langue entre des lèvres bien ourlées et que je me délecte de cette odeur de fille. Elle râle sans trop se faire prier. Mes doigts aussi sont là pour tenir éloignées l’une de l’autre les deux babines de ce mufle qui s’offre à moi. Anne-Marie se tord et geint tout en m’appuyant sur le crâne. Je suce, lèche, lape, titille, et je presse sur le capuchon qui masque encore son clitoris. Rien à voir avec celui de maman. Celui-ci n’est guère plus gros qu’une petite perle. Mais curieusement elle a les mêmes réactions que ma mère bien que son bouton ne soit pas du tout de la même taille. Je réalise donc que la taille et la forme n’ont rien à voir avec les sensations ...
«12...171819...»