1. Souvenirs d'une autre vie (4)


    Datte: 21/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... ressenties par mes partenaires. Mon visage coincé entre les cuisses de la belle, je débute ma visite. Et je ne suis plus rien d’autre qu’une langue, une bouche qui littéralement bouffe la chatte de cette fille. Elle m’épate vraiment en me démontrant bruyamment qu’elle en retire un certain profit. J’ai, dans mes mouvements pour en arriver à ce point-là, glissé au fond du lit, mes pieds tendus dans le vide. Je reprends contact avec le sol et j’attire vers moi, la créature qui s’agrippe aux draps. Ma queue réclame sa pitance elle aussi. Alors j’approche le bassin d’Anne-Marie progressivement de mon vit. Elle garde les yeux fermés, attendant sans doute cette première fois qui devrait arriver. Quand enfin, je juge qu’elle est assez près de mon engin, je me baisse, fléchis sur les genoux et ma poupée de chair est à l’entrée de son sexe. Il est ruisselant. Ma salive ou sa mouille, j’avoue n’être pas certain de ce que c’est. Je frotte un long moment ma trique sur les deux lèvres qui sont maintenant très ouvertes. Je ne sais pas comment m’y prendre pour… m’enfoncer en elle. Peur de lui faire mal, peur de ses cris qui risquent de faire accourir son frère, un tas de contradiction qui s’emmêlent dans mon esprit, tout concourt à me rendre hésitant. Alors chose incroyable, c’est une petite menotte impertinente qui attrape le mandrin et la fille d’un grand coup de reins, s’empale toute seule dessus. Elle a un long arrêt sans respiration, stase d’attente ou de douleur, puis elle relâche ...
    ... l’air de ses poumons. Elle le fait par petites saccades, comme si le fait de respirer en pointillé calmait la douleur. Douleur que je ne peux qu’imaginer bien sûr. Elle s’est juste un peu redressée et ses yeux semblent me supplier. Mais je ne comprends rien de ce qu’elle désire à cet instant précis. Je suis là, comme un con à regarder cette nana qui s’est déflorée avec ma queue, et qui reprend son souffle. — Alors tu vas rester immobile pendant des plombes ? Tu ne veux pas bouger un peu ? — J’ai… je ne voudrais pas te faire mal ! — J’ai déjà mal alors peut-être que tes mouvements allègeront mes douleurs. Vas-y, remue-toi le popotin ! Elle a jeté ça avec une sorte de rictus aux lèvres. Je prends appui des deux mains, les bras tendus sur le lit, je m’allonge sur elle sans vraiment la toucher sauf avec ce qu’elle a en elle. Puis je recule et elle se crispe, fait comme une grimace. Mais moi désormais je reprends un peu du poil de la bête et cette fois-ci, je fais ces mouvements que les hommes font avec les femmes. Ceux innés qui se font depuis que le monde et monde. Je commence donc des allers et retours que je voudrais doux et langoureux. Petit à petit je vois ses traits qui se relâchent. Anne-Marie reprend également une mine moins tendue. Elle se colle à moi, à chaque avancée de mon bassin, elle ne se raidit plus ou moins. Et soudain je la sens plus détendue. Elle se met elle aussi à onduler, à laisser son corps se balancer au rythme de mes gestes. Ses mains qui jusque-là serraient ...