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Souvenirs d'une autre vie (4)
Datte: 21/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou
... je vous en prie ! Elle s’est effacée et je passe devant elle en m’excusant. L’intérieur est à l’image de l’extérieur. C’est… c’est beau ! Tu parles d’un con ! Quel qualificatif pour dire que c’est mieux que ça ! C’est chouette et elle a bon gout. Je suis engagé à avancer vers une sorte de salon. Un large canapé, deux fauteuils, le tout en cuir fauve, font face à une cheminée. Mes regards se promènent partout. Je vois que tout est prêt pour que cet âtre soit opérationnel. Mais en plus d’être sympathique, il flotte ici une odeur. Ça sent comme chez ma mère quand j’étais gamin… ça se le propre. Je sais c’est con, mais ce sont les seuls termes qui me viennent pour décrire ce que je ressens dans cette maison. Elle me fait asseoir et elle en fait autant. Deux longues et belles jambes sont sous mes yeux. Après son buste, ce sont ses gambettes qui me font un effet… bœuf. Nous nous dévisageons tour à tour, sans savoir comment aborder le sujet qui nous tient à cœur. C’est elle qui choisit la méthode d’hôtesse pour me proposer : — Vous désirez boire quelque chose ? — Euh… ! — Allons, vous n’allez pas me laisser prendre un verre seule et j’ai… besoin d’un remontant. — Alors… je prendrai la même chose que vous… — Une vodka-orange vous ira ? — Ce sera parfait oui ! Elle se lève et passe dans une pièce voisine. J’entends des verres tinter, et une porte de buffet qui s’ouvre. J’en profite pour jeter un œil autour sur des photographies qui sont au mur. Un homme accompagné d’un enfant ! Le ...
... type à l’air heureux et le gamin n’a guère plus d’une douzaine d’années. Le cliché à côté de celui-là c’est elle, Maryse qui tient par le cou le même homme. — Mon mari et mon fils ! C’était les jours heureux ! — Oh ! Pardon ! Je me suis permis de… mais je ne veux pas vous paraître trop curieux ! — Ne vous en faites pas, je n’ai rien à cacher. Mon mari est décédé et mon fils suit des études. Il a dix-neuf ans maintenant… il quittera la maison un de ces jours. Il n’est plus que très rarement là depuis qu’il est à Nancy… Le son de sa voix est comme la mienne, un peu éraillée par l’émotion. Elle pousse devant moi un verre aux couleurs du soleil. Elle lève le sien devant ses yeux et murmure : — À votre santé ! Je tends le mien et les deux là comme nos regards s’entrechoquent. Elle est belle. J’ai, je ne sais pourquoi, envie de cette femme. Cette attirance me tombe dessus comme un coup de tonnerre. Je me sens tout remué de l’intérieur et pourtant, elle n’a rien fait ni dit pour m’encourager. — Vous avez des yeux magnifiques ! Vous… vous êtes merveilleusement belle ! — Merci ! En prononçant ces mots, je sens qu’elle rougit. Ses joues sont rubis. Elle baisse la tête, s’absente dans sa boisson et ne répond rien que ce merci. Je suis face à elle, et elle me donne une érection fabuleuse sans bouger un cil. Ses cheveux lui font comme une corolle tout autour des épaules, j’adore le style de cette Dame. Mon sexe se trouve soudain très à l’étroit dans mon slip et mon pantalon. Heureusement que ...