Souvenirs d'une autre vie (4)
Datte: 21/06/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... je suis assis, sinon elle verrait cette trique déformer ma braguette, j’en suis certain. Et mes yeux continuent leur périple, visitant chaque partie de son anatomie visible. Les mains me surprennent également par la finesse de leurs doigts. Elles sont relativement longues et me semblent douces. Pas de bague, rien d’ostentatoire, rien de remarquable, des bijoux à elles seules en quelque sorte, des bijoux qui me donnent chauds. Pour reposer son verre, elle se penche légèrement en avant et ce simple mouvement de son buste projette vers moi, sa paire de loloches d’une taille… enfin ils me paraissent superbes eux aussi. En se redressant, elle sent mon regard sur elle, ses yeux brillent de mille paillettes. — Vous savez, j’ai longuement hésité avant de vous faire venir ici. Il y a bien longtemps, que plus personne… un étranger je veux dire, n’est venu chez moi ! — J’ai une chance inouïe alors ? Merci de cette marque de confiance. Si elle connaissait les idées qui me trottent dans le crâne, me parlerait-elle aussi gentiment ? J’en doute ! J’ai l’impression que sa respiration est tout juste maitrisée, qu’elle fait des efforts pour rester naturelle. J’ose l’approcher ou je me garde loin d’elle ? Ses mains tremblent ou c’est un effet de mon imagination ? Elle s’est assise plus profondément sur son fauteuil. Moi, dans le mien, je n’en mène pas large. Elle place sa jambe droite sur la gauche, les croisant sur les genoux. Dans ce mouvement sa jupe aérienne se retrousse de quelques ...
... centimètres. Ses mains tirent sur le tissu, pour cacher cette peau, je ne dois pas regarder. Son mouvement est-il instinctif, ou c’est pour m’avertir qu’elle n’ira pas plus loin ? Je suis perplexe et me voici déstabilisé par sa façon de remettre son vêtement, comme pour ranger ce que je ne dois pas voir. Inaccessible ? Elle se veut intouchable ? Pourtant ce mouvement de décroiser ses gambettes, je le jurerais prémédité, calculé, voulu. Et mes yeux ont plongé, sur cette fourche, qui l’espace d’une seconde m’a laissé deviner… J’ai vu, ou j’ai rêvé ? Le tissu est sombre sous la jupe ! J’en parierais bien ma chemise. À moins que ce ne soit… non, ça ne me semble pas possible. N’aurait-elle pas mis de culotte ? Non ! Non ! C’est surement qu’elle est noire. Puis elle ouvre de nouveau le compas, c’est l’autre cuisse qui se plie et reçoit sa sœur siamoise. Là, je sais qu’elle en a une ! J’ai bien admiré, le geste s’est fait lentement comme pour me laisser le temps de voir, d’admirer. Sa voix mélodieuse me rappelle que je ne suis plus attentif qu’à son anatomie, et qu’elle me parle ! — Vous voulez une autre boisson ? — Pardon ? Je vous prie de m’excuser, je suis dans la lune… — Déjà ? Elle a prononcé ce mot ambigu avec un sourire énigmatique. Je ne sais pas comment appréhender cette réponse. Elle aussi me fixe avec comme des étincelles au fond des quinquets et je me sens soudain transpercé par ces yeux. Elle se lève, je ne réagis pas. Un seul pas et la voici tout près de mon fauteuil. — ...