1. Trois heures du matin


    Datte: 21/06/2019, Catégories: fhh, jeunes, couplus, inconnu, copains, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, double, fsodo,

    ... simples silhouettes enchevêtrées dans les draps. Chevauchant Quentin avec frénésie, la belle remuait des hanches à califourchon sur lui, le port altier et les mains en appui sur les genoux de mon ami, imposant le rythme de cette course vers le paradis. Sa longue crinière de platine dansait sur ses reins pour se perdre dans la naissance de la raie de ses fesses. L’une de ses épaules arborait un tatouage de Betty Short, le célèbre Dahlia Noir qui hante encore l’Amérique et le monde par l’horreur qu’elle avait endurée. La robe de l’inconnue gisait encore sur sa taille élancée, épousant le contour de ses larges hanches, tandis que les fines bretelles pendaient le long de ses cuisses. Je sentis ma queue se dresser d’un seul coup dans mon pantalon. Incapable de détacher mon regard de cette scène d’intimité, je restai ainsi prostré dans le vide, les mains en appui sur la cloison, contemplant le mouvement régulier de ses fesses et les frémissements des lèvres de la belle inconnue à chacune de ses plaintes. Le visage de Quentin, lui, était enfoui dans les oreillers, une main sur la hanche de sa partenaire et l’autre caressant ses seins en pointe. Elle poussa alors un ultime gémissement avant de basculer tête la première vers le torse de mon ami, secouée par une soudaine convulsion qui éclata dans son ventre pour électriser chacun de ses muscles délicieusement contractés. Je vis jusqu’au gros orteil de son doigt de pied serti d’une bague se recroqueviller sur lui-même tant le choc ...
    ... fut violent. Puis, la poitrine haletante, les deux amants échangèrent un long baiser, Quentin passant sa main dans les cheveux de la belle en une tendre caresse, avant de décoller de nouveau son bassin selon une cadence lente et régulière, sa queue enfouie au plus profond de la fente de sa partenaire. Je m’apprêtai ainsi à fuir pour filer aux toilettes mais mes jambes refusèrent de bouger. Les fesses de la fille me donnaient des envies formidables. Peut-être que… Certainement guidé par l’alcool, j’avançai dans l’ombre silencieuse en déboutonnant mon pantalon et, le cœur battant, grimpai doucement sur le lit qui subissait à nouveau les lois de la baise frénétique. Ma queue n’était maintenant plus qu’à quelques centimètres de cette généreuse cambrure et personne ne semblait avoir remarqué ma présence. La peau de la jeune inconnue dégageait une douceur incroyable, ponctuée par une chaleur qui pénétrait chacun des pores de ma peau. Alors n’y pouvant plus, je pris mon gland entre mes doigts pour le faire glisser timidement dans sa raie sur toute la longueur de mon membre. La fille se cambra tout à coup et ralentit sa chevauchée sans toutefois la stopper complètement. Quentin, qui m’avait aperçu, me fixait maintenant du regard, à la fois troublé et radieux. Nous avions partagé beaucoup de moments, lui et moi, mais jamais nous n’avions osé aller jusque-là. Sans doute que l’occasion ne s’était jamais présentée, m’aurait-il avoué, mais nous savions tous les deux que cet instant était ...
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