1. Danielle, la femme du garagiste (3)


    Datte: 28/08/2017, Catégories: fh, ffh, fplusag, ascendant, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, pénétratio,

    Quelques semaines plus tard, je revins dans cette ville des bords de Loire pour un reportage de cinq jours au château de Chambord. Inutile de dire que je téléphonai aussitôt à Danielle pour la prévenir de mon arrivée. Je la sentis toute émoustillée au téléphone, d’autant qu’elle m’apprit que son garagiste de mari dormait toujours au garage pour guetter les voleurs. Nous convînmes que je la rappellerai dès mon arrivée à l’hôtel, le premier soir. Ce que je fis ; elle m’indiqua alors le chemin pour me rendre chez elle. C’était un peu compliqué et j’eus du mal à trouver cette petite maison assez isolée le long de la Loire. J’y arrivai à la nuit tombée. Je me garai devant la maison, assez cossue et très joliment décorée, mais personne ne vint m’accueillir. La porte d’entrée était entrebâillée et une lumière brillait dans le vestibule. À gauche, une pièce plongée dans l’obscurité semblait être le salon et à droite, la cuisine était elle aussi dans la pénombre. Seul l’escalier était éclairé et incitait à aller plus loin. J’appelai : — Danielle, c’est moi. Où es-tu ? Pas de réponse ; bizarre, arriver de nuit dans une maison inconnue, et si c’était un piège du mari jaloux ? Je réitérai mon appel, mais avec le même résultat. Oh et puis je me dis que c’était peut-être un jeu de Danielle et qu’on verrait bien. Je m’engageai dans l’escalier et débouchai sur un palier dans la pénombre. Un long couloir s’ouvrait devant moi avec six portes fermées ; la septième, tout au bout sur la gauche, ...
    ... était entrouverte et laissait passer une faible lueur. Je m’avançai doucement, à l’écoute du moindre bruit, mais rien. Arrivé à la porte, je la poussai doucement et là, je découvris ce que j’appellerais une bonbonnière : tout était rose, de la moquette, bouclée et épaisse, jusqu’aux murs, tapissés de fleurs roses, en passant par les meubles enchâssés dans du satin rose ; et surtout le lit : mon regard fut aussitôt attiré par le lit où je retrouvai bien entendu Danielle dans une position plus qu’indécente. Elle était en dessous roses, soutien-gorge pigeonnant qui laissait voir les pointes de ses seins, petit string en tulle rose, porte-jarretelles en dentelle rose, le tout rehaussé de petits nœuds noirs du plus bel effet. Et pour couronner le tout, sachant que j’adorais ça, elle portait des bas noirs, très fins, à coutures. Je remarquai aussitôt sa main gauche, glissée dans sa petite culotte et agitée d’un va-et-vient déjà bien rythmé ; sa main droite tenait devant sa bouche un objet que je n’identifiais pas tout de suite et qu’elle suçait goulûment. Je l’observai un moment et je sentis ma queue se gonfler devant un spectacle aussi excitant ; j’étais en retard d’une demi-heure et madame avait commencé sans moi ! Je sortis ma queue et commençai à me branler doucement tout en l’observant. Je remarquai, abandonnées au pied du lit, de jolies petites mules noires à talons très hauts ; j’adorais cela aussi. Elle gémit, la bouche toujours pleine de ce que je supposai être un godemiché ...
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