Danielle, la femme du garagiste (3) - Histoires de Sexe

Danielle, la femme du garagiste (3)

... de bonne taille qu’elle faisait aller et venir entre ses lèvres serrées. Elle était allongée sur le dos, les cuisses largement ouvertes, les genoux un peu repliés. Je m’avançai tout doucement dans la pièce, sans lâcher ma queue et sans quitter Danielle du regard. Je me mis à genoux au pied du lit et je respirai son parfum de femelle en chaleur ; sa chatte dégageait une odeur d’amour que je connaissais bien et qui faisait encore plus durcir ma queue. D’où j’étais, je pouvais voir ses doigts qui trituraient son clitoris frénétiquement, se glissant de temps à autre dans sa fente déjà luisante de mouille ; son string minuscule était trempé. Je voyais ses pieds gainés dans le nylon noir et la marque de la couture et du renfort plus sombre au-dessous, ce qui me met dans tous mes états. Ses orteils étaient écartés comme pour mieux participer à la recherche de la jouissance. Cette femme, et surtout dans cette position, m’excitait énormément, mais j’avais envie de jouer un peu les voyeurs et je la laissai toute à son plaisir. Elle retira le gode de sa bouche et, écartant largement le tissu trempé de son string, elle se mit à frotter l’entrée de sa chatte avec le bout du sexe en latex. Je voyais très bien sa main gauche tenir le string écarté et masser doucement son clito du bout du pouce, tandis que sa main droite faisait aller et venir le gode entre ses grandes lèvres toutes gonflées. Je voyais tout cela en très gros plan et c’était ma foi fort agréable de contempler les lèvres du ...

... sexe d’une femme toutes gonflées, rougies et béantes d’excitation, comme si la vulve se projetait au dehors, à la rencontre d’une caresse attendue, offerte telle un fruit mûr gorgé de jus. Savoir que bientôt mon propre sexe se glisserait dans ce fourreau de chair luisant de mouille me donnait encore plus envie de me branler. Elle avait les yeux fermés, toute à son plaisir, mais soudain elle les ouvrit et me vit là-bas entre ses cuisses ; elle me sourit. — Tu es là, enfin, je ne pouvais plus attendre… Je lui souris et sans un mot je me relevai, elle découvrit alors ma main tenant mon sexe dressé, sorti de mon pantalon ; je fis glisser celui-ci à terre et, prenant ses deux pieds dans mes mains, je les pressai autour de mon sexe en lui soufflant simplement : — Continue. Comprenant ce que je désirais, elle pressa ma verge de ses deux pieds gainés de bas noirs et commença à me branler doucement. En même temps, elle s’enfonça d’un coup le gode dans la chatte et se mit à faire des allers-retours à la même cadence que ses pieds. Le crissement du nylon et la vue de ses pieds autour de mon sexe me procuraient un plaisir intense ; de temps à autre, elle quittait mon membre pour chatouiller mes couilles du bout de ses pieds ; j’étais aux anges… Au bout d’un moment de ce traitement, je ne pouvais plus tenir et, saisissant ses pieds, je les posai sur mes épaules et, repoussant le sexe artificiel, je m’enfonçai en elle d’un seul coup jusqu’à la garde. Elle ouvrit largement les cuisses, et ...