1. Danielle, la femme du garagiste (3)


    Datte: 28/08/2017, Catégories: fh, ffh, fplusag, ascendant, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, pénétratio,

    ... m’attira encore plus en elle, me tirant par les épaules, elle se retrouva avec les pieds à hauteur de sa tête, complètement offerte à ma queue qui commença à aller et venir en elle. J’adore quand une femme est suffisamment souple pour se mettre dans cette position, car alors j’enfonce mon sexe au plus profond et je sens le bout de mon gland qui bute contre sa matrice, comme si elle me suçait de l’intérieur. Elle cria : — Oh oui, je te sens, comme je te sens bien, tu es gros, oh oui, viens encore plus au fond, vas-y, défonce-moi. Je fis aller et venir lentement mon membre dans sa chatte largement ouverte, butant à chaque fois au fond. La position, ses jolis dessous roses, le frottement de ses bas contre mes jambes, ses cris, tout cela m’amena assez vite à un orgasme des plus puissants et je déchargeai en elle un long jet de foutre, alors qu’elle-même, toute frissonnante, partait dans un violent orgasme ponctué d’un râle de gorge étonnamment long et feutré. Ces retrouvailles se présentaient plutôt bien et nous nous écroulâmes dans les bras l’un de l’autre pour prendre un peu de repos. Une demi-heure plus tard, je m’éveillai et la cherchai du regard ; elle avait disparu. Je me rajustai et partis à sa recherche ; dans la salle de bains rien d’autre qu’une toute petite nuisette en dentelle noire pendue à une patère, je me dirigeai donc vers le couloir. J’entendis alors des bruits de casseroles, venant d’en bas ; je descendis vers la cuisine et la retrouvai, perchée sur ses ...
    ... petites mules noires, en court déshabillé transparent gris perle, qui ne cachait rien des dessous qu’elle avait conservés. Elle était occupée à faire cuire quelque chose sur une cuisinière. — Je vois que tu t’es souvenue de mes goûts ! Elle, mutine : — Oui, mais j’ai quitté la culotte, elle était vraiment trop trempée… par ma faute et… surtout grâce à toi… Je me collai contre elle et l’embrassant dans le cou, je glissai ma main entre ses cuisses, et je mis un doigt dans sa fente que je ressortis tout trempé de mouille. — Attends, tu n’as pas faim, je suis en train de nous préparer une petite omelette…— J’ai faim de toi. Et joignant le geste à la parole, je m’accroupis et plongeai ma tête entre ses fesses pour lui donner une caresse avec la langue ; elle se cambra aussitôt et ma bouche se colla sur sa vulve ainsi offerte. Je la saisis par les cuisses, frottant mes mains sur le nylon noir avec délices, attirant sa chatte vers ma bouche avide ; je la fouillai avec ma langue avec la sensation d’être un chien en rut qui léchait une chienne en chaleur. Elle se cambra davantage, se pencha en avant, et, les mains appuyées sur la cuisinière elle se haussa sur ses petites mules à talons pour mieux s’offrir. Je glissai une main sur le devant de sa chatte pour titiller son clitoris ; elle se frotta contre ma main, avide de caresses. Je lui dévorais la chatte goulûment, léchant ses chairs intimes trempées de mouille ; de temps à autre, ma langue s’aventurait vers son petit cul tout rose et elle ...
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