Danielle, la femme du garagiste (3) - Histoires de Sexe

Danielle, la femme du garagiste (3)

... faite, d’autant plus que Françoise n’avait plus de petit copain depuis plusieurs mois. À ce moment, j’eus l’impression d’avoir appuyé sur un bouton que je n’aurais pas dû toucher : en effet, elle se mit à remuer du bassin furieusement, tout en poussant des cris à chaque fois que mon sexe butait au fond de sa chatte ; elle se redressa, prit appui sur ses avant-bras et projeta ses fesses de toutes ses forces à la rencontre de ma queue. Elle hurlait : — Oh oui, j’en veux, donne-moi tout ; donne-moi ta queue, remplis-moi bien ; oooh je te sens là tout au fond ! Je la saisis par les fesses et peu à peu j’imposai mon rythme pour faire durer le plaisir un peu plus longtemps ; elle se calma un peu et tortilla du derrière pour accentuer son plaisir ; elle avait aussi glissé une main sur son clito qu’elle frottait frénétiquement en râlant de plaisir. Je glissai mes mains entre ses bas et la peau et lui caressai les cuisses doucement ; elle se redressa et sembla apprécier la caresse ; je faisais le tour de ses cuisses et j’enfonçai mes mains au plus profond de ses bas, sans cesser de la pistonner, mais plus doucement cette fois. Puis je sortis une de mes mains et je fis jaillir ses seins des bonnets de la guêpière et j’en excitai les pointes déjà bien dures. Elle râlait véritablement de plaisir. À ce moment, j’aperçus dans mon champ de vision sa mère qui nous avait rejoints sans faire de bruit : elle avait écarté les pans de son déshabillé gris et elle se doigtait doucement, debout ...

... sur ses mules à talons tout en nous regardant. Sans cesser de baiser la fille, je fis signe à la mère de s’approcher et de ma main droite je lui glissai un doigt dans la chatte et lui tendis mes lèvres. Elle m’embrassa fougueusement, et je la sentais qui pliait les genoux pour s’ouvrir davantage à la caresse de mes doigts. Je sentais au bout de ma queue le sexe de Françoise se contracter de plus en plus et elle accéléra le rythme, signe d’un orgasme approchant à grands coups de reins. J’accélérai donc la cadence de ma queue et de mes doigts et soudain, la fille et la mère se cambrèrent pratiquement ensemble pour laisser échapper des gémissements de jouissance. Je giclai un grand jet de sperme dans la fille tandis que la mère inondait ma main de sa mouille. Quelle jouissance ! Je n’avais jamais connu un tel plaisir ; j’embrassai Danielle à pleine bouche tandis que Françoise, décidément insatiable, s’était retournée et me léchait consciencieusement la queue encore pleine de foutre et de ses sécrétions. Bizarrement, je restai dur comme cela m’arrive parfois et je voulus faire profiter Danielle de cette vigueur ; je me détachai de la bouche gourmande de Françoise et, repoussant Danielle sur le dos sur le lit, je lui enfonçai mon sexe d’un seul coup jusqu’au fond. Elle se pâma et releva ses cuisses, s’ouvrant comme à son habitude ; je savais que je ne tiendrais pas longtemps et je la baisais doucement. Mais Françoise ne voulut pas être en reste et elle s’allongea à côté de sa mère, ...