1. Folies en rut majeur (5)


    Datte: 22/06/2019, Catégories: Erotique,

    ... et s’en débarrassa de suite. Les seins d’Aline se trouvaient tout naturellement être la nouvelle étape de la bouche gourmande. Comme ils n’étaient plus du tout synchronisés sur le tempo du slow, il lui appuya sur les épaules. C’était sans doute l’heure des pipes et elle se laissa choir sur ses genoux. Mais il coulait avec elle et sur la moquette, entre la table et le canapé, les deux se retrouvaient enlacés. Il cherchait ses lèvres, lui roulant une première pelle qu’elle acceptait sans à priori. La seconde lui parut encore plus tendre et ensuite ce fut elle qui débuta toutes les suivantes. Les jeux de langues duraient depuis de longues minutes. Luc aimait cette jolie salope qui embrassait à la perfection. Il lui retirait sa jupe en douceur et bien entendu elle se retrouvait dans le plus simple appareil. Sa culotte dormait sagement dans son sac à main. Il ne lui fallut que peu de temps pour lui aussi se retrouver à poils. À part un petit ventre rondouillard, ce mec avait de beaux restes. Sa queue tendue était là, bien raide, montant jusqu’à son nombril. Une bite longue et pas vraiment fine. Il caressait les seins, suçant, aspirant sans arrêt l’un ou l’autre des tétons. Mais sa main avait aussi écarté les cuisses d’Aline et il jouait tout bêtement avec son bijou. Il la regardait, mais elle avait les yeux fermés, ne cherchant plus à cacher quoi que ce soit de son anatomie. Bon Dieu, qu’elle plastique. Elle valait bien les quelques sous qu’il avait déposés sur le tablier de bois ...
    ... verni. La moustache du type rentrait en contact avec la partie fine des cuisses, la plus sensible, celle qui remontait en plage douce vers la chatte. Elle sentait la progression baveuse de la langue de l’individu alors qu’il atteignait la jointure inférieure des lèvres. Et la langue commençait une reptation tout empreinte de délicatesse. Aline était trempée. Ce n’était plus une pute que l’autre allait baiser, mais une belle salope. Elle allait vraiment se donner à ce gars qui lui léchait la minette avec ferveur. Il semblait même apprécier cette grotte aux senteurs épicées. La pine du type se frottait entre les deux seins gonflés d’envie de la brune. Si un seul instant elle avait espéré que le mec la baiserait sans qu’elle y prenne un certain plaisir, c’était foutu. Elle n’en pouvait déjà plus. C’était elle qui s’arrachait littéralement à la baveuse qui explorait sa grotte. Elle grimpa sur le bedon de l’homme et se laissa glisser vers le bas. La queue appuyait sur l’entrée de la caverne et elle fit passer sa main entre leurs deux corps. Saisissant la verge, elle la mit à l’entrée de sa foufoune. Il lui suffisait maintenant de se relever légèrement, les bras tendus, en extension sur le torse de Luc. Il était en elle. Alors commençait une autre danse, au son des derniers morceaux de slow sur la platine. Hervé Villard entamait son « Capri c’est fini » alors que les deux-là eux, s’affairaient sans relâche. Elle soupirait, gémissait, mais trouvait que cet homme la limait d’une si ...
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