Séduction délicate de la soeur de ma mère (25)
Datte: 22/06/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... pas à encaisser le coup et ma stupidité de Paris ! Je m’en veux tellement d’avoir été aussi conne et depuis quelques temps, tu t’éloignes de moi. Tu me quittes pour deux semaines, ma sœur ne veut plus me parler…je suis perdue, complétement paumée Patrick. En se tenant le front avec la main, puis en pleurant intensément, se vidant de toutes ses émotions. — Je reviens dans deux petites semaines et après nous parlerons de Marseille. Rappelle-toi ce que je t’ai dit, nous devons être égoïste, ne te soucie pas de ce que pense ma mère ! On s’en tape royalement, tu es avec moi et nous allons partir au soleil. Avant j’ai dit à Yan que nous serions à Biarritz, rien que nous deux dans un mois. En me mettant à ses côtés pour la serrer contre mon épaule. — Oui j’aimerais partir avec toi, mais comment fait-on avec Hugo ? — On trouvera, sèche tes larmes. Autant t’es super sexy le matin comme le soir…mais quand tu pleures, tu perds de ton sex-appeal Tatie ! En lui caressant la joue puis le coin de ses lèvres. — En plus tu arrives à me faire rire ! Oh là là je suis dans un état. Je ne regrettai pas mon choix. En quittant Véro pour deux semaines, j’étais certain à mon retour qu’elle m’apprécierait davantage. Certes je la laissai dans un état dépressif, mais en y regardant de plus près, ma tante était top canon, mais avait un caractère de cochon et finalement, elle n’avait que ce qu’elle méritait. Son attitude à mon égard était incompréhensible et indirectement, elle reportait son mal-être ...
... sur ma propre personne. Il fallait bien trouver un coupable dans notre histoire pour se donner bonne conscience et Véro l’avait fait. Mais le fait de lui résister, de l’ignorer l’insupportait, elle qui avait pris pour habitude de n’essuyer aucun refus émanant d’un homme. Finalement, ma mère n’avait pas eu tort, affirmant haut et fort qu’elle aimait, malgré son apparence timide, parader en soirée. Etant la petite dernière de la fratrie, elle pouvait se comporter en petite fille gâtée, à laquelle il fallait céder à la moindre de ses volontés. Ce fut pour cette raison notamment que je m’éloignai d’elle, désireux de la voir prendre conscience de mon caractère sociable et de ma disponibilité vis à vis d’elle. Tout en restant humble, je ne me considérais pas non plus comme une personne qualifiée d’irremplaçable, même si cette considération aurait été loin de me déplaire. Durant mon séjour au Japon, l’accueil chaleureux réservé par Monsieur Zusu père me renforça dans le degré d’estime qu’il me portait. Fort d’une histoire ancienne derrière une glace sans tain, une complicité sans faille nous unissait et dans la plus pure tradition japonaise, je respectais Zusu père qui savait combien il pouvait compter sur ma loyauté, valeur si chère à ce pays. Au passage je saluai son fils Ken, désormais devenu au fil du temps mon ami, en le remerciant pour mon poste dans la cité phocéenne. Les objectifs pour l’année en cours étaient en bonne voie et l’année écoulée avait été fleurissante. Le soir, ...