1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (25)


    Datte: 22/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... c’était une histoire entre toi et moi et elle s’est énervée en me disant "qu’elle fasse ce qu’elle veut après tout elle est majeure, si elle veut avoir des relations avec toi, ça la regarde ! De toute façon elle veut coucher avec toi à cause de Christine. ". Du coup, je lui ai répondue et je lui ai demandé si ça ne la dérangerait pas que je couche avec toi. Elle m’a dit, en terminant sèchement, que ça n’était plus la peine de mettre les pieds chez elle si c’était le cas. — J’étais sûre qu’elle le prendrait sur ce ton-là, j’ai bien fait d’amorcer le sujet. Insinua-t-elle d’une manière bien partiale. — Oui enfin elle n’allait pas applaudir quand même ! Tu es sa sœur et tu lui annonces que tu veux coucher avec son fils unique, t’as fait fort comme on dit et le plus marrant c’est que nous ne faisons plus rien depuis que nous sommes rentrés. Dans le fond je n’ai qu’à la rappeler et lui dire que tu regrettes. Lui dis-je en la provoquant sur le plan sexuel. — Je ne regrette rien et je t’interdis de la rappeler ! Et puis tu m’énerves quand tu dis que nous ne faisons plus rien, j’ai l’impression que nous sommes ensemble juste pour que tu couches avec moi. A par de me baiser, il n’y a rien d’autre qui t’intéresse ! S’emporta-t-elle en employant un verbe impropre à son langage habituel. Je crus bon ne pas répondre face à de telles inepties. J’aimais profondément ma tante et ce qu’elle venait de me dire m’avait blessé, même si Véro n’avait pas complément tort sur le fond. A l’aube de ...
    ... mes 26 ans, j’adorais baiser ma tante et était-ce bien utile de rajouter, qu’elle n’avait jamais été la dernière non plus dans ce domaine. Depuis une semaine, je vivais un véritable supplice chaque soir, quand elle arrivait vêtue de sa chemise de nuit. J’évitais de la regarder, mais mon sexe me rappelait à mon bon souvenir les délices de son corps. Dans mon orgueil, il fut hors de question de lui quémander un câlin. Mais à force d’attendre, ma patience atteignit ses limites. Sans lui adresser un regard, je montai à l’étage dans notre duplex. Sous la couette, je l’entendis arriver et je me mis de côté, la tête tournée vers le mur. Je sentis son corps se glisser sous le drap et la lumière s’éteignit jusqu’au lendemain matin. Triste nuit. Il fut clair que nous étions en pleine crise au sein de notre couple. Dans la journée au bureau, Véro prenait ses distances avec moi et le soir, nos dîners se résumaient à des échanges de banalités. Ma tante ne me le montrait pas, mais en fait elle était malheureuse, mal dans sa peau. Son coup d’éclat excessif avec ma mère avait créé une distance non seulement avec sa sœur, mais bien malgré elle envers moi-même. En analysant plus finement la situation, ma tante s’était toujours sentie honteuse de notre relation, qui était synonyme à ses yeux de trahison à l’égard de ma mère. Sans le savoir, elle s’était jetée dans la gueule du loup, en proposant par pure provocation de vouloir coucher avec moi, ou du moins de m’accueillir à bras ouverts. Mais au ...
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