J'ai rencontré la patronne du magasin (3) - Histoires de Sexe

J'ai rencontré la patronne du magasin (3)

... pas le mien. J’ai repris la fellation que j’étais en train de lui faire alors qu’il était debout et maintenant je savais que j’allais m’asseoir sur lui, que j’allais monter et descendre, mais que pour la première fois de ma vie j’allais penser à une femme pendant que mon mari serait en train de m’honorer. Quand il a jugé que la fellation avait suffisamment duré, il m’a repoussée en m’invitant à venir m’asseoir sur lui. J’avais gardé mes bas et je sentais le vent qui sortait de sous ma jupe quand je redescendais, c’était divin comme sensation. Je peux vous dire qu’avec toute la cyprine qu’il y avait dans mon vagin et autour son sexe, bien que gros, est entré dans du beurre ce jour-là. Un coup je me penchais en avant, je posais mes mains sur ses abdominaux pour aller l’embrasser ; le coup d’après je me penchais en arrière pour m’accrocher à ses cuisses et sentir son sexe frotter d’autres parois de mon intimité cachée. Ce soir-là durant tous les moments de cet acte amoureux dans notre couple je n’ai cessé de penser à Muriel. J’avais envie d’aller plus loin avec elle, j’en étais même arrivée à me dire que l’on pourrait construire quelque chose toutes les deux. Bien que nous n’ayons finalement pas fait grand-chose ensemble, la patronne du magasin m’avait complètement retourné la tête. Elle était douce et autoritaire, fragile et directive ; je ne sais pas combien de personnes connaissaient les deux personnalités de cette femme, mais j’étais assez fière d’en faire partie. Je savais ...

... que ma jouissance n’allait pas tarder et que mon mari allait suivre peu de temps après mais j’étais déjà pressée d’aller sentir la petite culotte que m’avait laissé Muriel. J’adorais que mon mari vienne me caresser la poitrine à travers mes vêtements, mais c’est bête à dire, Muriel me faisait la même chose et cela me faisait 100 fois plus d’effet. Je ne sais pas si c’est mon mari ou Murielle mais j’ai pris mon pied ce soir-là comme jamais je ne l’avais pris, comme d’habitude il m’a suivi de très près et nous nous sommes effondrés dans les bras l’un de l’autre. J’étais fou de Frank comme lui l’était de moi, mais la patronne du magasin m’apportait quelque chose que lui ne pouvait pas m’apporter. Je regardais notre photo de mariage en imaginant Muriel à la place de Franck, après je ne me demandais pourquoi pas un couple à trois. Au fond de moi je me disais que si je devais me mettre avec Muriel, je ne serais pas tout à fait d’accord pour la partager, les femmes sont possessives. Ce soir-là nous nous sommes endormis en amoureux, en sachant que de mon côté je l’étais doublement. J’ai quand même réussi, avant de m’endormir, à aller chercher la petite culotte de Muriel que j’ai discrètement glissée dans ma taie d’oreiller. Au petit matin quand je me suis réveillée, j’ai trouvé un SMS venant de la patronne du magasin qui m’informait qu’elle aimerait bien que nous passions un weekend en amoureuses. Elle me demandait si je n’avais pas une copine qui pourrait servir d’alibi pour que je ...