1. J'ai rencontré la patronne du magasin (3)


    Datte: 22/06/2019, Catégories: Lesbienne

    ... n’aurait pas été le cas dans ma voiture d’une origine différente. Il était onze heures et nous venions d’arriver à Azay-le-Rideau, pour ceux qui ne connaissent pas c’est une magnifique ville dans le Val-de-Loire où se trouve un magnifique château. Muriel avait réservé une chambre rue du Château, à côté de l’office du tourisme. La chambre était mansardée, les couleurs alternaient entre le sombre et le clair, elle était propre, soignée et accueillante. Nous sommes montés y déposer nos affaires avant de redescendre nous promener. À droite en sortant nous sommes parties faire un tour sur une petite place nous avons pu admirer la médiathèque qui arborait des couleurs peu communes. Ce qui m’a fait tout drôle, c’est que de temps à autre Muriel ne prenait par la main, avec tous les sous-entendus que cela pouvait entraîner. Quand nous étions main dans la main les passants qui le constataient nous regardaient d’un air bizarre quand même. Déjà qu’en région parisienne les gens n’ont pas l’esprit très ouvert là-dessus je vous laisse imaginer en province. La différence c’est que là les gens nous regardent d’un œil bizarre, alors qu’en Île-de-France les gens peuvent réagir violemment. Lors de notre petite balade nous avons pu constater une cabine téléphonique rouge à l’anglaise le style était sympa. Au cours de notre balade nous avons fini par tomber sur un grand pont qui enjambait l’Indre, cette ville est vraiment verdoyante et il est plaisant de s’y promener. J’adorerais sentir sa main ...
    ... tenir la mienne, elle me guidait, je ne faisais que la suivre, que la subir. Une fois le pont franchi et la route bien fréquentée traversée, nous avons découvert un petit chemin sous les arbres qui devait être peu fréquenté, il longeait la rivière et le paysage était magnifique. Maintenant nous n’entendions plus que le bruit de l’eau ainsi que celui des oiseaux, au loin les voitures nous rappelaient que nous n’étions pas trop loin de la civilisation. C’est ce moment-là que Muriel a trouvé pour me caler contre un arbre et m’embrasser avec passion. Je n’y ai rien vu à redire tellement je désirais ce moment depuis que nous étions arrivées, mon entrejambe était déjà tout mouillé et c’est la culotte de Muriel qui retenait toute ma cyprine. Quand la main droite de ma maîtresse s’est faufilée sous ma robe, je lui étais totalement offerte j’avais envie qu’elle me fasse l’amour, j’avais envie qu’elle me fasse tourner la tête. Ses caresses n’étaient pas à la découverte de mon corps, mais elles venaient me donner du plaisir, elles venaient m’exciter ; il n’y a pas à dire, c’est Muriel qui avait le rôle de l’homme. Je lui étais totalement offerte, elle faisait ce qu’elle voulait de moi ; de toute façon, quoi qu’elle fasse, cela me faisait du bien. Maintenant elle était en train de me caresser l’abricot à travers la culotte, j’étais un peu gênée car sa main pouvait aisément constater combien je mouillais. De temps à autre, elle faisait une pause dans notre baiser pour me regarder avec un ...