1. J'ai rencontré la patronne du magasin (3)


    Datte: 22/06/2019, Catégories: Lesbienne

    ... puisse m’échapper avec elle. Disons que mon amoureuse était demandeuse, elle me mettait la pression elle me désirait, elle ne voulait pour un weekend uniquement pour elle. Dans ma tête au réveil j’ai fait le tour des copines susceptibles de me servir d’alibi et j’ai fini par en trouver une prénommée Santa. C’est ainsi que le midi je la contactai rapidement par téléphone et non par SMS pour ne pas laisser de traces. Je lui ai expliqué que j’aimerais bien avoir un weekend pour moi, elle a désiré des détails mais j’ai fait en sorte d’être la plus vague possible. Voilà comment quinze jours après, pour le plus grand plaisir de Muriel et le mien, Santa s’engageait à me servir d’alibi ; officiellement je l’accompagnais faire la fête chez des amies à elle. J’étais maintenant comme une gamine impatiente que ce jour arrive, je comptais les jours les heures les minutes qui nous séparaient de cette date, telle une enfant sachant que Noël arrive. En fait, Mutuel avait réussi à poser un samedi, chose très rare quand on est dans le commerce. J’ai honte à le dire, mais j’ai fait l’amour à mon mari matin et soir les six jours précédents la date tellement, j’étais excitée. Bien évidemment je n’en ai pas dormi dans la nuit du vendredi au samedi, était-ce l’excitation ou le désir de retrouver ma belle, toujours est-il que cette nuit-là j’ai mouillé ou plutôt inondé même..., les draps de Cyprine. J’attendais avec impatience les messages qui allaient me dire où la retrouver, finalement nous ...
    ... nous sommes retrouvées sur le parking de la grande surface. Là elle m’a invitée à rentrer dans sa superbe berline aux anneaux, la première chose que nous fîmes, fut de nous embrasser avec passion. rjtrmmkx En quelques instants elle se débarrassait de sa culotte et qui était déjà toute trempée pour me la donner à enfiler ; c’est un rituel que j’appréciais beaucoup. J’avais l’impression de pleinement lui appartenir de cette façon, quelque part ce n’était pas faux. Je savais aussi ouvertement qu’en me débarrassant de ma culotte cela sous-entendait que j’allais être condamnée à passer sous sa robe magnifique et douce. Nous avons pris la direction de l’autoroute A10, Muriel nous a mis comme musique du folklore mexicain très entraînant, un peu celui que l’on entend dans le masque de Zorro, quand Antonio Banderas danse avec Catherine Zeta-Jones. Je l’imaginais parfaitement m’emmener danser sur une place dans un village avec la musique des Mariachis et tous les gens nous regardant danser. C’est vrai qu’avec un peu de recul Muriel, avait un petit quelque chose d’Ibérique ; une femme belle comme une flamme, au tempérament de braise. Je me sentais rassurée quand j’étais collée à elle, quand je sentais son parfum et ses mains évoluant sur mon corps. Nous avons roulé un peu moins de deux heures tout en sachant qu’il n’y avait personne sur la route et que ma maîtresse a souvent fortement dépassé les limites de vitesse. Nous n’entendions pas du tout la route et le confort était absolu, cela ...