Du tac au tac 1
Datte: 26/06/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... raison de ses dernières réticences, si elle en conservait. Et moi j'adorais la fraîcheur de son parfum et la douceur de la peau de ses cuisses, son nez retroussé, l'étroitesse de sa taille, la cambrure de ses reins, le volume de sa poitrine : enfin j'adorais tout ce qu'elle soignait et mettait en avant, y compris ses rondeurs postérieures. Elle avait de multiples qualités, zéro défaut forcément : je l'en persuadais. - Trop grosse, dis-tu ? Mais non, bien en chair, exactement comme j'aime. Trop maigre ? Si légère, en phase d'épanouissement si émouvante...adorable! Mon menu s'améliorait de sécrétions vaginales en échange de sperme dont je n'étais pas avare et dont la donzelle se délectait à la source. L'échange se concluait par une pénétration, parfois douloureuse quand il fallait faire sauter un pucelage. La fille souffrait pour être belle et voulait bien souffrir un peu plus pour ne plus être pucelle. En souvenir du bon moment, l'amoureuse oubliait, sous mon oreiller, une petite culotte personnalisée qui venait enrichir ma collection de trophées. Charmant prétexte pour revenir, lorsqu'elle le souhaitait, en vue d'un "bis repetita placent" à renouveler si l'envie persistait. Afin de ne pas être embarrassée par une double couche de tissu en me quittant, parfois plus sure d'elle et de ses désirs inavoués, elle préférait se présenter cul nu. Souvent, après une culbute réussie, elle repartait toujours cul nu de crainte de souiller le fond de culotte avec les rejets tardifs de ...
... sperme frais. Le "revenez-y" fonctionnait pour mon plus grand bonheur. Mais la règle énoncée à l'heure de la séparation conseillait de ne pas s'attacher outre mesure. Par politesse, on se disait "Merci" après le dernier baiser. Si je devais établir un classement de la meilleure, de la plus rapide et de la plus combative, cette Emilie, qui se vieillit artificiellement, emporterait le maillot blanc de la meilleure jeune, le vert de la plus rapide au sprint gagné il y a deux heures et le blanc à pois rouges de la meilleure grimpeuse, celle qui atteint le plus vite le septième ciel. Elle sait tout faire à la perfection. Mais le maillot jaune reviendrait incontestablemnt à Marie, mon épouse. Jusque là elle avait tous les maillots. Il lui reste celui de l'endurance; elle a réalisé l'exploit de rester au sommet pendant un temps record : treize mois et vingt-et-un jours. J'ai rencontré Marie sur un site internet. Nous avons échangé des idées, des photos. Nous nous sommes donné rendez-vous sur un quai de gare. Elle estimait qu'à l'approche de la quarantaine il était temps de s'établir de façon solide et définitive. Moi-même, lassé des aventures sans lendemain, j'éprouvais l'envie de me poser. Depuis un certain temps la moyenne d'âge de mes compagnes avait tendance à monter et la candeur des jeunes filles cédait la place à des femmes plus expérimentées, parfois envahissantes pour ne pas dire collantes, trop exigeantes souvent. Après les étudiantes de la faculté de médecine proche de mon ...