1. Du tac au tac 1


    Datte: 26/06/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... chaleureuse, charmeuse. Le coup de foudre fut réciproque. Elle abandonna sa province, son emploi et accepta avec enthousiasme mon hospitalité. Par convenance, elle passa une nuit dans la chambre d'amis de mon appartement de célibataire. Dès le lendemain nous étions amants. L'âge n'avait pas altéré son caractère,le corps était magnifique; l'ensemble de ses courbes formait un délice pour le connaisseur qui en avait tant admirées;ses grands yeux bleus éclairaient une face d'ange blond. Quand je voulus passer aux travaux pratiques,elle me permit au cours d'un effeuillage plein de fantaisies de découvrir un à un les trésors cachés sous ses vêtements. Ses seins sortaient tout neufs du moule qui les avait modelés dans des proportions parfaites, ni gros à l'excès ni trop petits, marqués de tétins bien plantés sur leur large aréole d'un rose à peine bruni. Il suffisait de poser tendrement la main sous leur globe délicat pour remarquer à quel point ils étaient sensibles, réactifs.Un dieu avait tourné les cuisses en fuseau.Les hanches généreuses sous la taille fine accrochaient les doigts; les fesses, sous la cambrure impeccable du dos inspiraient des rêves de feu. Sous la toison blonde du pubis, je découvris une fente parfaitement dessinée entre le double renflement de la vulve, ciselée dans la chair pulpeuse par le grand peintre Boucher, c'était Diane au bain, vue de près,livrée à mon admiration, objet d'adoration d'abord, comble de la tentation.Mais accessible, humaine, heureuse ...
    ... de me plaire,offerte à ma convoitise et ouverte à toutes les propositions. Bonheur suprême, elle aussi était admirative, franche, directe, tentée et décidée à succomber à la tentation. Ses yeux me disaient que tout était permis et que mon audace serait récompensée. J'ai osé un bécot sur son front, un autre sur une joue, un troisième dans son cou. Elle a frémi comme une eau qui se met à bouillir, a frissonné de la tête aux pieds, conquise.Ses lèvres se sont entrouvertes, ont appelé les miennes. J'ai penché ma tête à droite, elle à incliné la sienne. Nos nez se sont évités, j'ai voulu happer sa bouche, elle a voulu m'en faire autant. J'ouvrais mes lèvres pour m'emparer des siennes, elle répondit à mon essai par une autre tentative. Nous nous sommes amusés en bisous manqués, émoustillés en bécots déviés, échauffés en chocs de lèvres dévoreuses. Nous en avons ri, enfin nous nous sommes rencontrés bouches unies, soudées, la peau des lèvres électrisée dans ce frotti-frotta sans cesse renouvelé. J'avais fermé les yeux, plein de dévotion, Marie aussi.J'ai levé les paupières et j'ai lu sur son visage la plus pure expression du bonheur. Ce fut un instant sublime, inoubliable. Elle a souri, ouvert ses quinquets, a éclairé mon coeur . J'ai caressé sa joue, elle a ronronné de volupté. Nos bouches se sont reprises pour un long baiser langoureux, plein de fougue. Les pointes de nos deux langues se sont heurtées, se sont livré un duel acharné. Marie a pris un avantage mettant à profit une ...