Naufragés
Datte: 27/06/2019,
Catégories:
fh,
couple,
inconnu,
forêt,
amour,
Oral
69,
pénétratio,
conte,
sf,
amourpass,
... restes de tentacules, me regarde et se sauve en courant. Pas démonstratif le bougre, ou plutôt la bougresse. Il me semble avoir affaire à une femelle. Les Vrrl sont humanoïdes. De la taille d’un homme, le visage légèrement triangulaire, un petit menton, des lèvres finement ourlées, un nez droit dans le prolongement du front, un peu le profil grec. Les pommettes hautes, les yeux en amandes, les iris changeants, pouvant dilater ou contracter la pupille, la rétrécissant jusqu’à en faire une fente verticale à peine visible en cas de lumière intense ou de colère. Le système pileux se résumant en une crête plus ou moins du front au sommet du crâne, se terminant en pointe sur la nuque. Les oreilles sont pointues, légèrement mobiles. Les pieds et les mains à cinq doigts, comme nous. Les femelles sont plus petites et graciles que les mâles. Et, selon toutes les observations, très rapides et vives. Ce que je vous narre est de seconde main. Je ne connais les Vrrl que par vidéos et photos. J’errais au hasard trois jours encore sans trouver d’eau. Le quatrième, je me retrouve devant une surface sableuse qui ne m’inspire pas confiance. Le relief me semble différent de l’autre côté, je tente toutefois la traversée. À peine ai-je fait dix mètres que le sol bouillonne autour de moi. Je rebrousse chemin. Trop tard, une lanière me fouette les jambes, m’attirant vers le centre. Là où une chose épouvantable sort du sable, toute en pattes et mandibules. Une main attrape mon poignet, me tirant ...
... de son côté. Un bruit bizarre et une odeur de brûlé, la pression sur ma jambe se relâche. Le Vrrl vient de me sauver. Je m’évanouis. Je me réveille dans une grotte. Je suis nu. C’est la première fois que je vois des rochers sur cette planète. Ma jambe est bandée, il y a de l’eau à côté de moi. Je bois à m’en faire péter la panse. En boitillant, je pars en exploration. Un sentier me mène à une rivière, et j’y découvre une scène paradisiaque. Une vasque naturelle sous une cascade, et dans l’eau une créature sublime se baigne. Une Vrrl nue prend son bain. Je la vois de trois-quarts face, sa peau est dorée. Ses seins, de la taille de petits melons, avec de petits tétons et aréoles. Le ventre plat, au-dessus d’un sexe en tout point semblable à celui d’une humaine, glabre, (épilé ou naturel, je ne sais). Et des formes à faire pâlir toutes les miss de la terre. Caché dans la végétation, je suis en extase, paralysé. Suis-je un pervers ? J’ai une érection. Soudain, la Vrrl se fige et son regard se fixe vers moi. Honteux, je repars piteusement vers la grotte sans faire de bruit. Lorsqu’elle revient, elle est vêtue de sa sous-combinaison de vol qu’elle a arrangée. Le pantalon est devenu un short qui met en valeur ses jambes fuselées, et le haut, sorte de débardeur ne cache que ses seins. Je dois couver quelque chose, j’ai de nouveau une érection. Elle dépose ma combinaison à mes côtés, lavée ! Elle est un peu plus grande que moi, je fais pourtant un mètre soixante-dix. Pour piloter les ...