Folies de Louise (2)
Datte: 28/06/2019,
Catégories:
fhh,
extracon,
nympho,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
... exhalerait-il à ce point ? La situation m’énerve parce que j’aime diriger les opérations - tout en laissant entendre qu’il n’en est rien -, mais en même temps elle m’excite. J’ai envie de baiser, encore et toujours, envie de me faire baiser. Je réalise soudain que je n’ai pas de culotte, ayant laissé la mienne dans la poche du monsieur de tout à l’heure. S’il venait l’idée à ces deux-là d’aller y jeter un œil, ils seraient vite fixés sur mon cas. — Et des boîtes un peu chaudes, il y en a sur les quais, non ? me demande le second homme, semblant prendre la responsabilité de faire glisser la conversation vers leur but évident.— Sans doute. Mais plutôt en face, sur l’autre quai au pied de la colline, c’est bien connu.— Alors comme ça tu n’y as jamais mis les pieds ?— Rarement, une seule fois en fait, réponds-je d’une voix de jeune fille bien élevée.— Une seule fois ? Égarée dans la gueule du loup ou en quête d’aventure ?— À votre avis ? Ils se regardent d’un air complice. Ils ont sans doute un peu bu, leur air allumé m’alarme un peu. — Notre avis ? Tu nous demandes notre avis sur les filles dans ton genre ?— Euh… oui, pourquoi ?— Comme ça ! On va te le dire. Ou plutôt on va te l’expliquer. N’est-ce pas, Thierry ? Thierry justement s’est approché de moi et relève ma jupe. La surprise me cloue sur place. Je me retrouve les fesses à l’air, la chatte exposée, tandis que tous deux me regardent. — Je te disais bien que c’était la même fille : des petites salopes qui parcourent les ...
... quais pendant la trêve des confiseurs, il n’y en a pas des tas.— Je n’osais pas te croire, elle avait l’air trop sage. Difficile de croire que cette jeune femme élégante est celle qui se faisait sauter comme une traînée il y a quelques minutes.— Vous… vous avez vu ? m’entends-je répondre, vite consternée par la platitude de ma répartie.— Oui, nous t’avons vue. Et nous t’avons suivie, avec une idée bien précise en tête. Mais tu nous as facilité la tâche en nous demandant une cigarette.— … Qu’ajouter à ça ? Surprise et prise de court, je me contente de sourire, sans doute un peu bêtement. Espérant que les idées qu’ils mentionnent ne me déplairont pas. — Tu ne veux pas savoir ce que Jef et moi avons envisagé de faire avec toi ? me demande Thierry.— Je suis sûr qu’elle peut deviner toute seule, renchérit son collègue. Sur ce, le dénommé Jean-François, Jef pour les intimes, prend ma main et la pose sur sa braguette. Sous le tissu du pantalon, je sens un sexe gonflé, dur, palpitant, que je caresse doucement d’une main. Il me caresse les cheveux, les épaules, m’enjoignant de me baisser. Quand je cède, il ouvre son pantalon et sors de son slip sa queue bandée au gland turgescent. Je m’agenouille, je sens le froid des pavés à travers mes bas. Sans me servir de mes mains, je happe sa queue dans ma bouche, enroulant ma langue tout autour. Quel bonheur de sentir une bite dure contre mes lèvres ! Sucer profondément, sentir l’excitation monter quand je pompe ce sexe tout entièrement dépendant ...