1. Folies de Louise (2)


    Datte: 28/06/2019, Catégories: fhh, extracon, nympho, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    ... de mes mouvements. — Hum… J’aime ta bouche. Oui, suce ma queue, petite traînée. Suce, suce, suce encore. Pompe-moi la bite ! Wouah ! Elle va me vider juste avec sa bouche, la salope ! Après tu l’essaies, Thierry, j’ai jamais essayé une pompe à bite de cet acabit ! Oh oui, caresse-moi les boules pendant que tu suces ! Oui, petite pute, montre ce que tu sais faire, suce, suce encore !— Dépêche-toi, j’en peux plus de me branler en attendant, redresse-la que je puisse fourrer ma queue dans sa chatte ! Traitée de la sorte, sur le pavé mouillé, j’aurais dû détester. Toutefois, quoique avilie par les mots, je n’étais pas forcée physiquement, et j’étais au comble de la frénésie, excitée, prête à me faire prendre et reprendre encore, à même le sol, tant la situation me transfigurait, m’avait chauffé les entrailles. Je sentais mon vagin presque béant tant il appelait la bite. Jef a joui dans ma bouche et j’ai avalé. Thierry s’est précipité sur moi, m’a prise par la taille, s’est assis sur un bloc de granit servant de banc et m’a juchée sur sa queue dressée. Empalée, les pieds posés par terre, je pouvais aller et venir sur son sexe. Ma jouissance fut telle de recevoir enfin une grosse bite - car elle l’était, grosse, et longue - dans ma chatte, que je faillis crier à pleins poumons. Hurler « Oui, je suis une salope, une chatte en chaleur, une traînée ! Et je n’aime rien tant que me faire ...
    ... sauter, de toutes les façons qui existent ! ». Quand je redescendis enfin de mon orgasme fou, interminable, Thierry avait joui en moi. Il se retirait. Ce que je n’avais pas prévu, c’est qu’ils avaient bu pendant le dîner et qu’ils n’avaient plus vingt ans. Le spectacle d’une fille en bas et porte-jarretelles, la jupe relevée, abandonnée à leurs désirs, ne parvint pas à les refaire bander. Ces imbéciles ricanèrent quand je leur demandai de me lécher la chatte pour me faire jouir encore. Je me branlais frénétiquement pour tenter de rendre à ces messieurs leurs ambitions de départ. Un doigt dans la fente, la paume de la main contre mon clitoris bandé, gluant de foutre, l’autre main caressant mes seins dans l’ouverture du chemisier, je me démenais alors qu’eux restaient de marbre, vaguement gênés. Comme salis d’avoir sauté une fille si facile. Comme me méprisant de n’avoir pas résisté, ou au moins fait semblant de résister. Que la chair est triste chez ces messieurs ! Comme s’il fallait avoir honte de ces élans… comme s’il fallait oublier… Le bonheur est tellement plus doux quand on laisse durer le souvenir, quand on l’entretient comme de la braise. Que la baise est triste chez ces messieurs ! En fumant toutes les clopes du paquet tombé d’une veste, allongée sur le banc, la jupe toujours relevée, je pensais à la meilleure façon de finir la nuit, d’offrir à ce corps ému une apothéose. 
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