1. 0205 Non, ce n’est pas un rêve.


    Datte: 28/06/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... possible… » « C’est l’approche du bac qui m’a poussé à faire ce premier pas… je trouvais horrible l’idée que la fin du lycée arrive, et qu’on parte chacun de notre côté, sans avoir tenté de t’approcher… après t’avoir kiffé comme un malade pendant trois ans… ». « Moi aussi je trouvais ça dommage… mais je n’aurais pas eu le cran de te proposer de venir chez moi, comme ça, à jeun, même pour réviser les maths… et Dieu sait que j’en avais besoin… ». « Si tu savais le nombre de branlettes que je me suis tapé en pensant à toi… ». « Moi aussi je me suis branlé en pensant à toi… ». « C’est vrai ? T’en avais pas assez de toutes les meufs que tu te tapais ? ». « Non… » il fait, sur un ton sans ambiguïté ; puis, après une petite pause, il continue : « tu sais, ton petit cul je l’ai maté souvent, bien plus souvent que tu ne l’imagines… ». Ses mots m’excitent. Je bande. Je sens que lui aussi il bande, je sens la « bête » se raidir le temps d’un éclair. « Et tu lui ferais quoi, à mon petit cul, si tu l’avais là, à disposition, tout de suite ? ». « Pourquoi, il est à ma disposition, là, tout de suite ? » il me cherche, l’air fripon. « Il se pourrait bien… ». « Tu veux vraiment savoir ? » fait-il, une étincelle très coquine dans le regard. « Je crois bien, oui… ». « Alors tu vas savoir… ». Et ce disant, le bogoss me fait basculer ; je me retrouve allongé sur le ventre, son corps allongé sur le mien, son manche raide calé entre mes fesses. « Tu la veux, hein ? ». « Oh, que oui, je la veux… je ...
    ... te veux… ». Ses mains empoignent mes fesses, les écartent, mettent mon petit trou en tension, le préparent à se faire envahir ; je sens tout le poids et la chaleur de son corps sur mes jambes, mes cuisses, mes fesses, mon dos ; son gland met mon trou en joue, sa queue glisse en moi, lentement ; le mouvement est précis, nos corps s’emboîtent comme deux pièces de puzzle contiguës, comme s’ils avaient été conçus exprès l’un pour l’autre. Jérém me pilonne doucement, tout en caressant mon cou avec ses lèvres, tout en glissant ses mains entre le matelas et mon torse pour aller chatouiller mes tétons ; je prends appui sur mes coudes, je relève le haut de mon torse pour lui faciliter la tâche. Mais déjà le bogoss pose ses mains à plat sur le matelas de part et d’autre de mes épaules, ses pieds crochètent mes chevilles ; son corps est en suspension au-dessus du mien, ses coups de reins se font de plus en plus puissants et rapides ; j’adore le sentir prendre son pied en moi, j’adore me sentir à lui. « Ah, putain, qu’est-ce que c’est bon… » je l’entends chuchoter, la voix étouffée par l’excitation. « Tu fais ça comme un Dieu… ». Ses coups de reins ralentissent, il se déboîte de moi ; le petit con s’amuse à agacer mon trou avec son gland, il me fait languir : c’est à la fois un délice et une torture insupportable. Je frémis, je tremble d’excitation. Une excitation qui grimpe encore d’un cran lorsque je sens ses lèvres effleurer mon oreille, son souffle chaud chatouiller ma nuque, et sa ...
«12...141516...21»