0205 Non, ce n’est pas un rêve.
Datte: 28/06/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... voix excité me chuchoter : « Qu’est-ce qu’il y a, elle te manque déjà ? ». « Oh, putain, oui… ». « Elle est bonne ma queue ? ». « Elle est plus que bonne, elle me fait tellement de bien… ». « Elle te fait bien jouir, hein ? ». « C’est juste un truc de fou… ». « T’as envie que je te défonce, hein ? ». J’adore quand mon Jérém me fait l’amour, quand il est tout doux ; mais je kiffe tout autant quand son côté mâle dominant refait surface. « J’ai envie que tu me secoues comme tu sais si bien le faire… ». « Je vais te le secouer, t’inquiètes… ». Et, ce disant, il s’enfonce bien profondément en moi, d’une seule traite. Ce qui me fait sursauter et gémir de bonheur. « Qu’est-ce qu’il et bon ton cul… ». « Tu l’aimes mon cul, hein ? » je le cherche à mon tour. « Quand je le regarde, j’ai qu’une envie… ». « Quelle envie ? ». « De lui jouir dedans… ». « Alors prends-le et remplis-le… ». Et là, alors que je m’attends à que mon Jérém recommence à me pilonner direct avec un bouquet final de bons coups de reins, avant de me remplir de son jus brûlant, je sens sa queue me délaisser à nouveau, s’extirper de moi d’un geste rapide ; je sens son corps se dérober. Instinctivement, je me retourne : qu’est-ce qu’il est sexy dans son t-shirt blanc, il me rend dingue ! Je croise son regard, je comprends son envie ; j’écarte mes jambes, il se glisse entre ; ses mains saisissent un oreiller, je soulève mon bassin ; il saisit mes fesses, j’ouvre un peu plus mes cuisses ; son gland vise juste, mon trou ...
... s’ouvre à lui, sans opposer la moindre résistance. Oui, quand l’amour est là, les intentions des corps se comprennent sans mots, les gestes s’enchaînent avec une coordination parfaite, comme une chorégraphie millimétrée ; dans le sexe et la tendresse, c'est le désir (et l’amour) qui fait l'adresse. Le feu crépite dans la cheminée et le bogoss revient en moi ; il recommence à me faire l’amour, toujours habillé de son t-shirt blanc ; j’allonge les bras pour aller agacer ses tétons par-dessus le coton fin ; je suis fou de plaisir. « Qu’est-ce que t’es sexy… ». « Tu me kiffes, hein ? ». Mon Jérém aussi est fou de plaisir. « Grave, j’ai tellement envie de toi… ». « Tu la sens bien, là ? » fait-il, tout en cessant ses coups de reins et forçant avec son bassin pour s’enfoncer très loin en moi, pour me remplir, pour me posséder entièrement. Je suis assommé d’excitation et de plaisir. « Ah, oui, je la sens très bien… et c’est tellement bon… ». Il recommence à me pilonner, je recommence à agacer ses tétons par-dessus le coton blanc. Mais très vite le bogoss a l’air d’avoir chaud : il l’attrape le t-shirt par le bas, le relève jusqu’à le coincer au-dessus de ses pecs ; je suis toujours impressionné par cette rencontre magique, l’alchimie entre un t-shirt moulant et un torse sculpté : et puis, j’ai beau savoir pertinemment ce qui se cache sous le coton fin, à chaque fois c’est un choc. Mes doigts se délectent désormais du contact direct avec ses pecs d’acier et des tétons saillants garnis ...