1. Souvenirs d'une autre vie (5)


    Datte: 01/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... sort en est jeté. Me voilà entrainé dans une aventure extravagante, mais le cul de Pauline qui chaloupe devant nos deux regards de mecs, le clin d’œil que m’adresse ce Moïse sont une invitation à les accompagner. C’est parti. À la porte alors qu’elle passe sa veste, je sens ses yeux sur nous. Elle sourit. Je pense qu’elle a compris et qu’elle accepte en toute connaissance de cause ce qui devrait suivre. Je sifflote en suivant les feux arrière de leur voiture et je peux aisément imaginer les mains baladeuses, les mots doux et les idées des uns et des autres. Les miennes sont axées sur une partie de sexe qui s’annonce prometteuse et riche en évènements. Au détour d’un chemin, une longue barre d’HLM profile son ombre inquiétante. Je suppose que nous allons bientôt arriver. En effet, la berline que je suis s’arrête et je cherche moi aussi une place de stationnement. Quand j’ai trouvé, je rejoins les deux amants qui se serrent l’un contre l’autre et nous voilà partis, tous les trois vers une entrée et des escaliers aux odeurs… plus que bizarres. C’est sale et des inscriptions sur les murs donnent une idée de ce genre d’endroit. Intérieurement, je me demande ce que je fais ici. Je ne me résigne pourtant pas à les planter là. Il faut dire que le popotin qui se meut devant moi dans les escaliers est alléchant. La main de son ami, du reste, ne résiste pas à l’envie de glisser le long de la jupe, pour dessiner et renforcer plus encore les lignes des fesses que le tissu recouvre. Elle ...
    ... glousse et ça résonne dans cette cage dont on ne voit pas la fin. C’est enfin une porte dans un couloir du troisième étage qui, une fois ouverte m’offre une vue sur un appartement parfaitement en ordre et aux allures bourgeoises. Comme quoi… il ne faut jamais juger trop rapidement ! Moïse est dans son univers et il nous offre un verre. Nous sommes Pauline et moi, installés gentiment dans un salon ouvert sur une salle à manger relativement cossue. Elle a posé ses fesses à demi sur un canapé de velours partiellement recouvert d’un plaid. Elle regarde le bout de ses hauts talons. Sa gueule d’ange est dans la ligne de mire de mes regards. Elle est jolie, bien qu’un peu forte. Et mon cerveau fait tout seul des estimations, forcément faussées puisque ce corps, je l’ai déjà tripoté à maintes reprises. L’unique différence, c’est que peut-être cette fois, je n’en serai pas l’utilisateur exclusif. Je la sens anxieuse cependant. L’homme est revenu d’un meuble-bar duquel il a tiré des flutes et une bouteille de champagne tout droit sortie du réfrigérateur. Prévoyance ? Préméditation ? Ou tout simplement garde-t-il toujours au frais, une bouteille pour les grandes occasions ? Je fais des suppositions, je me pose un tas de questions, c’est drôle ! Le cerveau des mâles réagit toujours étrangement à certaines situations stressantes. Le « pop » du bouchon qui saute avec retenue, le bruit du vin qui coule dans les coupes… tout me parait irréel et pourtant ! — Bien ! Une petite envie de jouer ...
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