-
Souvenirs d'une autre vie (5)
Datte: 01/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou
... avec nous deux ? — … ! Il a prononcé cette phrase avec un aplomb qui me désarme. C’est donc bien prémédité et Pauline lève les yeux vers moi, avec une sorte de malice au fond des prunelles. — À notre santé à tous ! — À la bonne vôtre, alors ! Les flutes s’entrechoquent et mes lèvres trempent dans le nectar divin. Une manière comme une autre de masquer ma fébrilité. Apparemment ce Moïse ne s’embarrasse pas d’autant de préjugés. Il s’est assis près de la blonde et ses mains sont plutôt voyageuses. Il caresse les joues. Elle ne me quitte pas du regard alors qu’il descend vers le cou et qu’un à un les boutons de son chemisier sautent sous les doigts agiles. Je sais bien ce que cache le soutien-gorge de dentelle mauve qui soudain s’affiche devant moi. L’homme ne s’occupe plus de savoir ce je pense. Il est à son affaire et s’emploie à un déshabillage savant. Il ne cherche pas à faire sortir les seins de leur vitrine de satin, non ! Il attaque désormais la fermeture de la jupe qui cède rapidement. L’expérience compte sans doute beaucoup pour ce strip-tease intense. Je suis là, subjugué par ce spectacle et elle me fait un sourire. Dans le dos de son ami, elle me tend la main, m’invitant ainsi à les rejoindre sur leur canapé. Lui se fiche éperdument de ce que je peux faire. Il est maintenant le mufle plongé dans le décolleté de la belle qui rejette sa tête en arrière. J’avance et il se pousse sur le côté. Un signe pour que j’intervienne aussi ? Je le considère comme tel et ma bouche ...
... vient à la rencontre de celle de notre Pauline. Cette pelle est le point de départ d’une soirée de débauche. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, le noir et moi sommes aussi nus que le jour de notre naissance. Elle manie la gaule avec dextérité et saisit tantôt l’une, tantôt l’autre. À genoux sur le tapis que masquait la table basse du salon que Moïse a délibérément poussé sur le côté, elle attaque une pipe d’enfer à son compagnon tout en masturbant ma queue délicatement. Un bout d’un long moment, elle n’a qu’un simple mouvement à faire et c’est l’inverse. Sa sucette est une pure merveille. Mais ça, je le savais déjà. J’apprécie hautement. Mes yeux se portent sur cette longue et fine mimine, qui masturbe doucement un tube noir, pas vraiment long. Mais les phalangers de la blonde n’arrivent pas à encercler la bite et je réalise que la circonférence est bien supérieure à celle de la mienne. Je n’ai guère le temps de penser à des comparaisons peu flatteuses. La langue qui se déplace sur mon gland calme mon imagination. Elle détourne avantageusement mes pensées et mes mains se cramponnent à la chevelure souple qu’elles peuvent attraper. Je ne cherche pas à lui faire mal, seulement à prolonger cette caresse qui m’émoustille vraiment. Et l’autre aussi oscille du bassin pour qu’elle tripote plus encore sa queue qu’elle tient bien en main. Quand je sens que le sperme risque d’échapper à mon contrôle, qu’il menace de me surprendre, je retire de la bouche gourmande mon vit ...