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Brena et la reproduction
Datte: 29/08/2017, Catégories: fh, fhhh, humour, sf,
... sans en parler à quiconque ; j’étais le seul au courant. — Tu veux toujours pas me montrer ?— Je ne préfère pas encore ; le stade de maturité définitive de tes clones n’est toujours pas atteint.— Comment ça, mes clones ? hurlai-je soudain. Il a jamais été question de plusieurs clones !— Ça ne change rien, un ou plusieurs, c’est pareil.— Ben non, c’est pas pareil ! On avait dit un clone. Pas cinquante !— Il n’y en a pas cinquante, ne t’inquiète pas.— Oh ben non ! Je ne m’inquiète pas, tu penses…— Pour qu’un clonage humain ait une chance d’aboutir, il est préférable de tenter plusieurs duplications. Il se trouve que j’ai eu de la chance et que presque toutes devraient aboutir effectivement.— Combien y en a-t-il ? demandai-je, angoissé.— Sept viables. Les trois autres ne survivront pas. Beuark ! J’étais pris d’une soudaine nausée. — Et… et quand est-ce qu’ils seront… qu’ils seront prêts ?— Dans moins d’une hexade. Je soupirai. Je regrettais d’avoir accepté. — Tu es en parfaite santé, m’affirma finalement Yolen en reposant une sorte de pistolet qu’elle avait baladé tout le long de mon corps. Et elle posa une main sur mon sexe redoutablement mou. — J’ai pas franchement envie, là, tout de suite… la refroidis-je. Elle n’insista pas et soupira simplement avant de me balancer : — Eh ben vivement que tes clones soient à maturité ! La salope ! *** Onzième lunaison de l’an 539, troisième hexade, 77 h 27 : — Ah, au fait, commença Xara en s’essuyant la bouche. Yolen a demandé que tu ...
... passes la voir. Elle dit qu’elle a quelque chose à te montrer. Elle avait soigneusement attendu que je me sois soulagé entre ses lèvres pour me le dire. — À mon avis, nous informa Thylis qui en avait également plein la tronche, elle veut juste te montrer ses seins. Mais une boule se noua dans mon ventre. Elle voulait me montrer le résultat de ses expériences, c’était sûr. Et maintenant que j’y étais, ça ne m’amusait absolument pas. Je me traînai avec mes compagnes sous la douche géante ; on se décrassa globalement. Je ne leur avais toujours pas parlé du projet délirant de la doctoresse, et j’allais sans doute attendre de constater par moi-même de quoi il retournait exactement avant de leur en annoncer la couleur. Je courus presque jusqu’à la « demeure sanitaire » ; j’entrai ; il n’y avait personne. — Qui est-ce ? demanda la voix de Yolen qui semblait monter de tout autour de moi.— Euh… c’est Gufti.— Ah, c’est toi ! Rejoins-moi, je suis en bas. Prends le téléscenseur, au fond à gauche. Je m’exécutai et me retrouvai au sous-sol du laboratoire, dont je ne connaissais même pas l’existence. Et je poussai un hurlement d’effroi. Yolen m’accueillit nue, tout le corps recouvert d’une prodigieuse quantité de sperme ; elle avait une sorte de mouchoir à la main et s’essuyait encore vaguement le visage. Elle avait l’air ravie. — Je les ai tous essayés, m’informa-t-elle avec allégresse. Tous tes clones fonctionnent bien.— Mais qu’est-ce que tu as foutu ? Ça va pas la tête ?— Je suis finalement ...