1. Les nonnettes (2)


    Datte: 02/07/2019, Catégories: Divers,

    Les nonnettes (2). ------------------ Il y avait, je l’avais deviné, une toute petite… « Portez-moi, mes sœurs, au nom du Seigneur ; portez-moi, je ne vois rien, moi ! » Sans doute était-elle lourde parce que ses sœurs les plus charitables ne la portaient jamais assez longtemps à son goût. Les mois passaient, et chaque nuit j’entendais de petits crissements et grignotements. Je finis par demander s’il y avait des souris dans le couvent. Une petite voix gloussa : — A part nous ? Non, grand Dieu, non ! Ah oui, oui, je comprends : c’est sœur Lillipute, notre petite sœur qui gratte, qui ronge. Elle veut son trou à elle, à la bonne hauteur. Elle est petite mais impatiente, notre Sœur Minuscule, et… très habile de ses dix doigts. Et aussi très pratique. La cacher sous notre robe, pendant la grand-messe par exemple, c’est divin. Nous nous mettons des pinces aux tétons, au clitoris, à la chatte et y suspendons notre chapelet à l’extérieur, l’air de rien. Elle en joue diablement bien, nous étire les tétines sous la robe, les allonge, les écarte, les croise, les noue, mmmmm… Elle fait tout vibrer ; c’est électrique, c’est bien bon, c’est assez pour me faire mouiller, et souvent jouir à l’élévation. Quand c’est mon tour, je mets une couche-culotte très serrée et fendue ; elle lèche et boit tout ce qui coule de ma chatte. Chut ! Euh… c’est un secret ! Finalement, le grignotage de sœur Souris porta ses fruits. Le trou avait le diamètre d’une bite, pensait-elle… À part la mienne vue de ...
    ... loin, elle n’en avait jamais vu qu’en photo. Le chêne rongé à l’aide d’une cuillère affûtée, le bout rond tailla dans l’épaisseur de la porte un bol percé d’un trou de quelques centimètres. Sœur Manuelle camoufla le bois mis à nu et fabriqua une pièce discrète permettant de le couvrir et le masquer à volonté. La toute petite put, de près et sans se baisser, profiter longuement des spectacles que je lui donnais. Ma queue, bandée ou non, agitée en tout sens, le balancier de mes châtaignes et mon trou du cul ouvert sur ordre… Je reconnaissais sa voix, ses soupirs et ses « Merci, mon Dieu, de leur avoir mis une bite. Que c’est beau, bon Dieu, que c’est beau ! » Sœur Minuscule voyait enfin le monde tel qu’il était. La petite vit ainsi sa patience récompensée, et sitôt qu’elle le put me fit approcher. — Viens, viens, je veux la sucer, la sentir, la goûter. Je ne l’ai jamais fait ! Je rêve et mouille à la branlée du soir, salivant à ta grande bite poilue… Je l’ai si peu vue, et de si loin ! Viens, je vais te sucer la queue à travers mon trou. Car c’était son trou à elle. Quand elle me le demandait, je m’approchais, glissais ma nouille molle dans son bol et me plaquais jambes écartées à la porte. La nature ne l’avait pas gâtée ; elle allait se rattraper. Sur moi ! Son trou avec ma bite dont sa bouche pouvait profiter pleinement. Enfin ! Elle demanda bientôt mes couilles. D’accord, c’est bon de se faire lécher les glandes, mais je ne pouvais en passer qu’une à la fois, sauf à les glisser ...
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