Les nonnettes (2)
Datte: 02/07/2019,
Catégories:
Divers,
... jour, à ma demande, la toute petite mit son cul face au trou. La sœur de guet lui dit mon envie de la voir appuyer son cul au plus loin et de pousser très fort, puis elle me fit passer son plus gros pinceau à poils raides, une vraie balayette, et me le fit entrer au fond de son cul, poils devant. — Tu vas me masser, m’astiquer l’intérieur du boyau. J’obéis. — Tourne, tourne… Hiiiiiiiii… Ouiiiii… c’est bon ! Tu m’excites le ventre jusqu’aux seins ; mes tétons crient… Plus fort… Ramone-moi le conduit, fais la manivelle, n’aie pas peur, remue fort, plus fort ! Tourne… Ouiiii ! Enc… enc… encoooore… Lààààà… Ouiiiiiiiiiii ! Sœur Salope, au judas, réclama le résultat. Je sortis le pinceau bien garni et lui mis en bouche. — Mmmm… mmmm… Je veux tout ce qui sort d’elle, de sa chatte, de sa bouche, de son cul. Une superbe rose rouge épanouie fleurissait le bas de ma porte. — Et ça, ça lui plaît ? Ilbande ? Je suffoquais et m’étranglais. La sœur au périscope commenta : — Je n’ai jamais vu son braquemart aussi dur ni aussi gros : sa bite est violacée sur toute sa longueur. Là, il va te frotter le boyau avec son gland en flamme… C’est magnifique ! Non, il met sa langue ; il dit qu’il veut lécher ta rosée du matin… Pousse plus fort, c’est si beau vu d’ici ! Maintenant il prend son dard à la main, il le promène et butine ta fleur parfumée. Tu le sens ? C’est bon ? — Ouiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… — Il cherche ton entrée, il t’écrase le boyau contre la porte. Mon Dieu, ...
... que c’est beau ! Ce gland mauve et ton cul étalé en pétales rouges ! Comment toi, si petite, as-tu un boyau aussi gros ? Je n’en peux plus ; je mouille, je ruisselle… Mets-moi ta main au fond du con. J’ai sucé ton pinceau… Un sanglot. — Tu me suceras après, dis ? Je tirai son boyau à vif jusqu’à m’envelopper le gland. C’était doux, chaud, humide, visqueux, soyeux. Je branlais mon truc avec cette fleur rouge saisie à pleines mains, jouissais à la folie dans l’énorme bourgeon sorti de son cul. La minuscule couinait et gémissait. — Vas-y, branle-toi, tire-le, malaxe-le, écrase-le-moi. C’est si bon ! J’aimerai tant que tu puisses me tripoter comme ça quand je chie… Tu viendras ? Mon sperme coulait partie en elle, partie de mon côté ; j’y mis mes doigts que je plongeai dans la bouche ouverte, goulue, au judas. — Mmmmmmm… mmmmmmm… Vite ! Sors-moi ça du trou, la naine ! Moi aussi je veux goûter ta rose au sperme, l’intérieur de ton cul plein ma bouche, y entrer mes tétons pour lesbranler… J’y glisserai ma langue. Tu pourras pousser fort, je sucerai et mangerai tout ce que tu voudras donner! J’aspirerai, j’avalerai. Promis ! Sœur Bricoleuse, encore une fois, se précipita au devant de nos fantasmes. Elle fit déposer dans ma cellule – sublime vice, par les bigotes – une ventouse à siphon. Quoi de plus innocent qu’une ventouse dans destoilettes ? Ce fut la grande époque ! Le cinéma d’après le muet, d’avant le parlant, le cinéma criant ! Hollywood, nous voilà ! À la demande je passais le ...