Les nonnettes (2)
Datte: 02/07/2019,
Catégories:
Divers,
... l’une après l’autre. Mes deux boules dehors et moi dedans. Plaqué contre la porte, j’étais piégé ! Pour me libérer, je dépendais totalement d’elle et de ses doigts élastiques… Faire confiance ? Facile à dire ! Elle aimait profiter très longuement de mes attributs – bite, couilles et trou du cul – avec sa langue, ses lèvres, ses dents et ses tout petits doigts. Je me tortillais, papillon épinglé vivant. Sœur Manuelle, la bricoleuse, avait apporté un progrès certain à nos gentils jeux : un tube à miroirs avec manche permettait, par le judas, de regarder vers le bas, de voir mon membre s’activer. Elle avait même poussé le bon sens jusqu’à y accoler une petite lampe. Quand j’enculais par le trou dans le bois, je sortais très souvent ma bite et mon gland rouge pompier pour que la sœur postée au périscope ne manque rien des choses truculentes et visqueuses que j’exhibais. Je déchargeais à la demande, dans un cul, dans le trou vide ou vers le haut, vers la langue tendue et implorante au judas. Vices et verse-ça, et à l’envers de l’inverse. À la demande pressante des autres, le trou fut agrandi et évasé, poli. Je pouvais cette fois y passer bite et couilles ensemble. Il y avait quasiment un bidet dans l’épaisseur du bois, si bien que lorsque la naine n’était pas de garde, elles purent toutes y mettrepoils et chatte ou bien –et même les plus grasses – leur paire de fesses. La cavité obligeait les grosses à les écarter largement, faire ventouse en se collant au bois. Il n’y avait que ...
... moi à pouvoir agir sur ce qui se présentait, et je n’y manquais jamais. De la langue, mmmmm… Des doigts… Un, deux, trois… soleil ! Mmm… Ouuu, mmm… et de la bite. — Ouuuuuuuch… Ouuuuch, ouiiiiiiii, ouiiii ! Va au fond…. Plus loin ! Enfonce tout ! Remue ça dans mon cul… Ouiiii, ouiiiiiiii… iiiiiiii. Ouch, aïïïïe ! Ne bouge plus, attends, je fais bouger mes boyaux, je pousse à chier ; tu le sens ? Mmmmm, ta bite gonfle… C’est bon ! Ouiiiiiiiiii ! Tu sens mon boyau la serrer ? Vas-y, frotte-le… Fais jouir mon cul, fais-moi jouir par le cul, je veux gicler par ta bite dans mon cul ! Depuis le judas, sans le périscope, on ne voyait rien. Vrai qu’on y jouait souvent à « Tête ma langue - Suce la mienne » et à y faire et défaire toutes sortes de nœuds complexes, mouillés, baveux. Nos langues se retrouvaient à travers l’ouverture carrée. Cette fenêtre mal placée changeait sans cesse d’usage. Mon bras, tant bien que mal passé au travers, palpait des seins à l’aveuglette et tordait les tétons volontaires. Elles savaient en jouer, ma main ne happant que du vide, et soudain une mamelle grasse venait se faire peloter longuement puis fuyait pour revenir quand je ne l’attendais plus. Ou bien une bouche chaude à langue humide me mordillait délicieusement les doigts. Parfois il servait même de trou de souffleur. La naine suçotait mon bout et la nonnette au judas me transmettant ses souhaits : — Donne-lui tes couilles… tes poils. Remets ta queue… Décalotte ton gland… Mets-y ton trou du cul. Un ...