1. Les nonnettes (2)


    Datte: 02/07/2019, Catégories: Divers,

    ... Je le lui demandai. — Que crois-tu ? Je file dans ma cellule tant que c’est chaud et je me branle avec cette bouillie sacrée. Je me baigne la chatte dedans, je m’en mets plein les poils, plein le cul, je l’étale sur mes seins. Au bout d’une heure, elle est encore plus chaude et odorante qu’au début. Puis j’en appelle à ma bien-aimée voisine et on se branle ensemble dans le bol. On s’en fourre partout, le plus possible. À poil, bien graissées, debout, nous nous glissons l’une contre l’autre, devant, derrière. Nous nous frottons tout. Mes petits nichons dans ses grosses mamelles, son ventre sur mon nombril, clitoris contre chatte, poils contre fesses ; nous pissons l’une sur l’autre, fente à fente. Nous ne manquons jamais de faire passer tout ça aux autres dans un bol encore plus grand. N’oubliez pas, mon frère, qu’ici nous sommes toutes sœurs. Sœur Minuscule avait elle aussi des torrents d’imagination. Depuis sa découverte de ce nouveau jouet, elle préparait des petits trucs qu’elle imaginait utiles. Elle gardait soigneusement les pinces à cheveux et à linge, les élastiques, les épingles, les trombones, et même quelques pinceaux à aquarelle. Dans sa cellule-maison de poupée, avec grand soin elle préparait sa dînette. « La fête à sa nouille que ça va être ! » pensait-elle au fond de son cœur. Je découvris la longueur impressionnante de sa langue qu’elle passait au travers du trou et tortillait pour m’appeler. Un si mignon doigt rose, brillant, humide… « Viens, viens ! » Mon ...
    ... membre réagissait, faisait le beau à ces simples signes. Si ma queue avait eu une bite, elle l’aurait agitée. vlsvppby Elle aimait par-dessus tout mâchouiller ma nouille au repos. Ses petits outils – pinceaux, épingles et le reste – s’avérèrent redoutables, apportant à mon sexe, à mes bourses, à mes testicules des sensations inconnues. Je gloussais de plaisirs multiples. Un jour, elle enfila lentement un fin pinceau en poils de martre dans le trou de mon gland, et de ses doigts agiles le fit doucement tourner, aller et venir, le ressortit mouillé, le lécha avec délectation. — Mmmmm, ouuuuu, mmmm… Ouiiiii… Donne-moi de ta pisse, mmmm…mmmm… Il reste du foutre. Mon Dieu, mon Dieu que c’est bon ! Elle me replongea illico le pinceau de plus en plus loin. Bientôt mon membre fut tenu raide à l’horizontale. Alors, à l’aide d’un gros pinceau doux et bien sucé, elle m’excita le gland, me fit bander raide et mena ma bite à la verticale. Ses consœurs applaudirent au spectacle, à son œuvre. Ma bite sortant toute droite de la porte, soulignée par la masse rougie de mes couilles coincées, je vibrais à chaque touche du pinceau. Chacune voulut en profiter, de la langue, des doigts. L’une d’elle se frotta longuement le clitoris de ma bite raidie. Puis, tirant le bout pointu du pinceau vers elle, vers son con, elle parvint à le faire pénétrer loin dans son trou à pisse et nous branla ainsi tous les deux, trou contre trou, pisse à pisse. Ce jour-là elle hurla longuement en silence et avec moi gicla ...
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