1. Quelques jours d'égarement (1)


    Datte: 03/07/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... poitrine et se mit à la lécher goulûment. La semence faisait des fils. Les hommes se saisirent des deux femmes collées l’une à l’autre. Elle ne m’appartenait plus. Elles se collaient, frottaient leurs seins, leurs ventres. Elles s’embrassaient avec passion, se caressaient furieusement. Elles étaient allongées sur le flanc. Les paysans, tels des maquignons au marché écartèrent leurs cuisses, dévoilant leurs entrejambes ruisselants de désir. Leurs chattes grasses étaient béantes prêtes à les accueillir. Elles reçurent chacune l’hommage d’une queue tendue en elle. L’enchevêtrement de corps était obscène mais tellement excitant. Les coups de reins les firent gémir. Mathilde lapait le visage encore sale de Elodie. Deux types les baisaient. Deux autres vinrent s’agenouiller à leurs têtes. Elles acceptèrent l’offre et avalèrent les queues qui se tendaient vers leurs bouches. — Ah, les salopes, dit le propriétaire, enculez les ! Il se faisait sucer par Mathilde, les yeux exorbités. Ses volontés furent exécutées, à la lettre et les deux femmes furent sodomisées de concert. L’hallali dura de longues minutes, elles furent prises devant, derrière, échangées à plusieurs reprises jusqu’à l’apothéose que j’observais dans un état second. Les semences jaillirent sur elles, sur leurs chairs intimes dégoulinantes. Corps arqués, bouches ouvertes, mains crispées sur des queues d’acier. Le calme revint, l’espace ne fut plus envahit que par les derniers gémissements et les souffles courts. Elodie ...
    ... était allongée sur le sol, cuisses écartées, bras en croix. Sa chatte était trempée, dilatée. Le propriétaire se tourna vers moi. — Tu ne veux pas la baiser ? me demanda t-il avec un sourire. — Si. Je me mis entre les cuisses et plongeait ma queue en elle. Elle était anéantie et cela m’excitait encore plus. Ma bite flottait dans ses chairs gluantes. Je la pilonnais un bon moment avec ardeur. J’étais fasciné par les balancements de ses seins brillants d’humidité. Je sortis d’elle et pour compléter le déroulement de la perversion que nous venions de vivre, lui ramenais les cuisses sur le ventre et la sodomisais d’un coup jusqu’à la garde. J’éjaculais sur son œillet ouvert sous les regards de nos hôtes. Il était 21 heures. L’orgie avait duré trois heures. Le lendemain, Elodie et moi nous promenions dans la forêt. Il faisait beau et chaud. Elle portait une robe légère qui flottait autour d’elle. Nous débouchâmes dans une grande trouée qui abritait un pré. Un splendide cheval noir s’y trouvait. Il devait se sentir seul car en nous apercevant, il s’approcha au petit trot et stoppa à la barrière. En cavalière accomplie, Elodie s’approcha de lui et lui flatta l’encolure. — Qu’est ce qu’il est beau, dit-elle admirative. C’était vrai, cet animal était superbe. Elle se plia en deux et passa sous le fil électrique. Elle se trouvait sous le cou énorme et passa son bras pour attirer sa tête. L’animal soufflait fort. — Tu es seul, hein ? lui dit-elle. Il y a bien longtemps que l’on ne s’est ...
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