Quelques jours d'égarement (1)
Datte: 03/07/2019,
Catégories:
Zoophilie,
... violence incroyable ! Surtout le regard presque étonné d’Elodiequi caressait cette bite géante avec passion. Mathilde y allait de sa langue de temps en temps. Sa bouche gourmande s’approchait du gland étrange. — Goûte maintenant ! Elle le fit, sous les yeux de tous. Les types commençaient à bien s’exciter et tous avaient sortis leurs bites dressées pour se caresser en la regardant faire. Mathilde souriait en la regardant faire. Elle la laissa s’exciter encore plus puis elle l’attira entre les pattes. Elodie à quatre pattes présenta sa croupe à la hampe. Mathilde la tenait en main et la guida entre les fesses. — Tu imagines, lui susurra t-elle, tu imagines ça dans ta chatte. Le gland frottait la peau douce des fesses rondes. Mathilde malmenait la hampe et la frottait sur tout l’entrejambe d’Elodie. Celle-ci se cambra brusquement : — Non, non pas maintenant, dit-elle en se retournant vers Mathilde. Celle-ci hésita. — Tu veux prendre ton temps ? Tu as raison, il ne faut pas tout découvrir tout de suite. Tourne toi ! Elodie obéit et s’allongea. Elle tenait toujours la hampe luisante. La vue de ce monstre reposant sur son ventre me poussa de façon irrésistible à sortir à mon tour ma queue. Je n’en pouvais plus. La hampe sombre se posa entre ses seins. Elle regardait le gland qui s’écrasait sur sa peau, laissant les traces gluantes. Elle prit appui sur ses pieds et releva son bassin vers le ventre. La hampe allait de sa chatte jusqu’à sa gorge. Elle ramena sa tête contre sa ...
... poitrine et approcha sa bouche de la chair animale gluante. Sa petite langue rose darda vers l’objet de son désir. Sa souplesse de gymnaste lui permettait cette prouesse physique. Mathilde caressait sans douceur cette queue monumentale. — Tu vas voir, il va t’inonder la bouche, allez lèche, donne lui du plaisir ! Plonge dans le vice, ne pense qu’à tes fantasmes. Allez, c’est ça, suce, suce encore. Et Elodie le faisait. Avec une passion dévorante. Elle tenait la queue à deux mains, branlant ce qu’elle pouvait, suçant de même. Les hommes s’étaient approchés, moi aussi. Nos regards la rendaient folle. Elle frottait sa chatte contre la chair sombre. twrtjjdi — Dis que tu aimes ! — Oui, j’aime, j’adore, je le veux en moi, je veux goûter son jus. Mathilde branlait en même temps et soudain, la bête bougea, la hampe devint si raide qu’elle semblait de fer. — Ouvre la bouche ! Il vient ! Elodie attendit, bouche ouverte, langue sortie, sans cesser de branler. Le flot inonda son visage sous les cris de satisfaction de l’assemblée perverse dont je faisais partie. Vision incroyable de cette crème épaisse et abondante, qui gicla en plusieurs fois, trempant le visage de ma dulcinée, ruisselant sur sa langue, sur son menton, ses seins. Elle ne refusa pas cette inondation, l’accueillit même avec soulagement. La hampe disparut, l’animal écarté. Restait Elodie, trempée, nue, offerte aux regards de nous tous. Mathilde se plaça à quatre pattes entre les cuisses écartées. Elle approcha son visage de la ...