1. Quelques jours d'égarement (1)


    Datte: 03/07/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... — Touche, n’aies pas peur, c’est du vrai ! Elle prit ma main et d’autorité la posa sur ce globe chaud. — Allez, vas-y, profite ça te change ! Curieux, je pétris cette masse. La femme ronronnante, écarta ses cuisses pour me témoigner son affection. Elodie sortit de la salle de bains. Une professionnelle n’aurait pas fait mieux. Maquillée à outrance, la femme délicate s’était muée en femme provocante. — Super, t’es super, dit la femme en se levant et en la rejoignant. Elle inspecta tout, sans aucune gêne comme une marchandise. — Allez, faut y aller, ils doivent s’impatienter. Nous rejoignîmes les 5 hommes qui, assis sous la tonnelle dallée immense, buvaient un verre. Il n’y avait là que des stéréotypes de paysans. Solides, rustres. Leurs regards ne me firent pas douter du fait que la chair fraîche les intéressait. Il y eut un silence quand nous arrivâmes. — Vingt dieux ! dit l’un d’eux. Puis l’ambiance revint et les verres furent vidés. La femme s’était assise sur les genoux de notre hôte. Celui-ci lui caressait l’intérieur des cuisses. Elle les laissait s’ouvrir. — Et toi Mathilde, tu la trouves comment ? — Moi, répondit-elle de sa voix grasse et un peu éraillée, je lui ferais bien des choses ! Elle agita sa langue vers Elodie, déclenchant des rires nerveux dans l’assemblée. — Attention les gars, dit le propriétaire, quand elle a vu mon Roméo (l’étalon) elle était dans tous ses états. Elle aime les grosses queues ! — Comme la Mathilde, elle le connaît bien le Roméo ! — Hum, ...
    ... le Roméo, dit la Mathilde en passant une main entre ses cuisses, rien que d’y penser ça m’excite. — Et si tu allais le chercher ton Roméo ? — T’as raison, dit le propriétaire en se levant, je reviens. Un des hommes attrapa Elodie par la main et l’attira vers lui. Sa jupe plus que mini cachait difficilement la naissance de ses fesses. Un bustier de soie cachait à peine ses seins qui pointaient. Elle se tint debout entre les cuisses écartées de l’homme. La grosse main calleuse se posa sur les bas résilles et remonta sur la cuisse fine. L’homme se tenait l’entrejambe. — Eh, t’es gourmand, dit un autre. — Elle m’excite comme un dingue. Les doigts épais montèrent sous la jupe et contournèrent la fesse. Par rapport à Mathilde, Elodie paraissait maigre alors que sa croupe voluptueuse envoûterait n’importe quel mâle. — Tu es une salope, dit l’homme en levant les yeux vers elle. Elle lui fit un grand sourire. La main flattait les fesses. L’homme s’approcha d’elle. Un mouvement de la main cachée par la minijupe. Elodie écarta les cuisses. — Tu es une vraie fontaine. Je devinais qu’il avait atteint la chatte de ma moitié. Le propriétaire s’approcha enfin tenant Roméo par la bride. — Ah, fit la Mathilde, enfin. Les hommes partirent d’un éclat de rire. Il arrêta Roméo au milieu de la tonnelle. Mathilde se leva et se dirigea sans hésiter vers le cheval. Elle le flatta sur les flancs et l’animal sembla la remercier en tournant la tête vers elle. — Il t’a reconnu !! Mathilde pas émue des ...
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