1. Quelques jours d'égarement (1)


    Datte: 03/07/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... sarcasmes des pervers qui la regardaient, continua de caresser le pelage bai. Elle se tenait au niveau de la croupe. — Alors, sa hampe t’a excitée ? dit-elle en s’adressant à Elodie que l’homme caressait encore. Elle ne répondit pas, elle était toute rouge. — T’avais jamais vu une queue pareille ? La main de Mathilde descendait sur la cuisse. Elle se penchait nous laissant voir ses seins énormes aux tétons bandés. Sa main tourna le ventre rond. L’étalon leva la tête et s’immobilisa. — Moi j’ai déjà baisée avec lui, il m’a prise devant eux. Sa main disparut sous le ventre. Le cheval leva les oreilles. — Hum, je suis sûre que tu vas aimer. La main de Mathilde se mit à bouger doucement. Elle tenait le fourreau à pleine main et caressait l’animal. — Viens, approche toi, dit-elle à Elodie. L’homme qui la touchait repoussa Elodie. Elle me jeta un regard perdu. Un autre la poussa encore vers la Mathilde. — Viens, n’aies pas peur, il aime ça, dit cette dernière de sa voix grasse. Elodie était à deux pas de Mathilde qui continuait à préparer l’animal. — Tu vois ça l’excite aussi. La hampe apparut. Elle penchait vers le sol. Je vis Elodie fixer ce membre géant. Un coup d’œil vers moi. Puis à nouveau la hampe qui continuait à enfler. J’imaginais la tempête qui lui chavirait les esprits, prise entre un désir obscène et la honte de ce même désir. Un des hommes se leva et s’approcha d’elle dans son dos. Il se colla à elle et je vis les grosses mains puissantes remonter sur le ventre plat ...
    ... de Elodie. Elle respirait fort et ses seins semblaient sur le point d’exploser. — T’as envie hein, ma salope, souffla-t-il en emprisonnant sa poitrine. Elle se cambra instinctivement, greffant sa croupe sur l’entrejambe bandé de l’homme. Jamais je n’avais vu Elodie dans cet état. Elle ronronnait, ondulait, se frottait et semblait prête à tout. J’hésitais à prendre part à ses envies. Je bandais ferme et tous les fantasmes tapis au fond de moi surgissaient violemment. Ces hommes rustres, pervers, cet étalon à la hampe surdimensionnée qui la captivait. La Mathilde s’agenouilla sous le flanc de l’animal. De là où j’étais je la voyais mal, j’entendais sa voix : — Regarde ma chérie, comme elle est énorme. Elodie la fixait, les yeux grands ouverts. L’homme lui dénuda la poitrine. Ses tétons étaient durs. Les grosses mains pétrirent ses seins généreux. Une main glissa vers la ceinture. Le ventre se creusa et la main passa entre les cuisses. Elle gémit. — Putain, elle est dans un état, les gars. J’entendis un murmure de Mathilde : — Humm, viens goûter ma chérie, viens tu va voir, tu vas sentir cette grosse queue sous ta langue, viens. Huuummm ! L’homme poussa Elodie. Mathilde lui tendit la main et tira. Elodie se retrouva à genoux à ses cotés. — Vas-y touche. Lance toi. C’est bien, vas-y, branle le. Je ne pus résister et contournait la bête pour voir exactement ce qu’il se passait. La vision de la hampe démesurée emprisonnée entre les doigts fins faillit me faire jouir. C’était d’une ...
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