Ardente voisine
Datte: 03/07/2019,
Catégories:
fh,
voisins,
fplusag,
... venait à l’esprit : — Tu voudrais recommencer ? Tu pourrais revenir me voir, si tu le désires. À moins que tu n’aies déjà quelqu’un… J’aimerais refaire l’amour avec toi, tu es un amant formidable.— Je n’osais te le demander, mentit Guillaume à qui l’idée n’était pas venue, mais qui trouvait l’occasion trop belle pour refuser. Non je n’ai personne. Avoir une maîtresse pratiquement à domicile, même si celle-ci était plus âgée que lui, pouvait, pendant le temps où il était célibataire, l’aider à calmer ses sens. Surtout que la femme semblait particulièrement sensuelle et possédait un tempérament amoureux hors du commun. Il était sûr de pouvoir avec elle assouvir ses penchants érotiques les plus fous, ce qu’il n’avait jamais osé demander aux jeunes filles qu’il avait fréquentées jusqu’à présent. Arrivé à la porte d’entrée où Laura l’avait raccompagné, celle-ci s’accrocha frénétiquement à son cou pour coller ses lèvres brûlantes aux siennes dans un baiser passionné. Leurs langues se cherchèrent dans un ballet plein de sensualité, pour finalement se frôler, se caresser, se nouer étroitement. Haussée sur la pointe des pieds, Laura avait plaqué son corps sensuel au sien, et dans un déhanchement lascif elle frotta vicieusement son pubis bombé à son bas-ventre, dans un balancement des hanches plein d’érotisme. Encouragé par ce comportement voluptueux, Guillaume ...
... referma ses deux mains sur la croupe rebondie qu’il malaxa fermement, pressant les chairs élastiques des fesses avec passion. — Laura ! De nouveau l’appel retentit dans le silence de l’appartement, brisant la magie du tête-à-tête amoureux. — Va-t-en maintenant, haleta Laura, les yeux brillants. Sinon je ne sais pas si je pourrais me retenir. J’ai de nouveau envie de ta grosse queue…— Moi aussi, j’ai envie de ta chatte, lui répliqua Guillaume qui avait senti son membre se redresser lentement sous le frôlement affolant du bas-ventre féminin.— C’est vrai ? s’exclama Laura surprise et ravie en même temps. Voulant se rendre compte de la véracité de l’affirmation de son compagnon la femme lança sa main droite en direction du bas-ventre de ce dernier : — Oh mais c’est vrai ! Tu bandes de nouveau ! S’exclama-t-elle sidérée en sentant la dure colonne sous ses doigts. Tu m’avais pourtant bien dit que je t’avais vidé les couilles. Il t’en reste encore ? Quel dommage qu’il faille déjà se séparer. Il faut que j’aille voir ce que me veux mon père. Tu reviendras me voir ?— Je te le promets, affirma Guillaume dans un dernier baiser.— Cette fois-ci je saurais te vider complètement les couilles !— J’ai hâte de voir ça, lança Guillaume en se jetant dans l’escalier qui le mènerait à son domicile * * * N’hésitez pas à me faire part de vos remarques et de vos critiques. Merci.