Un dimanche d'aéroport
Datte: 07/07/2019,
Catégories:
fhh,
Collègues / Travail
uniforme,
ascenseur,
douche,
double,
... laisse-moi faire, et admire la technique. Si ça marche comme je crois, tu vas pas le regretter, et moi non plus !— Je sais pas comment tu comptes t’y prendre, mytho, mais je demande à voir, lui répondis-je, incrédule. Mais au fond de moi-même, je lui faisais déjà confiance. Cédric partit fort opportunément ranger quelques papiers dans le bureau même où la fameuse Sorina travaillait, et commença à engager la conversation avec elle : je n’en entendis pas vraiment la teneur, mais je fus quelque peu étonné d’entendre la fille lâcher un petit rire discret et bavarder avec lui. Il revint ensuite me voir ; clin d’œil et petite moue entendue….. Au bout d’un moment, la jeune femme nous salua et quitta les locaux : Cédric se mit à compter les minutes comme un braqueur de banques. — On va descendre toi et moi ; on arrivera quand elle sera en train de se doucher !— Mais… tu vas faire quoi ? Tu la connais pas ! On va lui faire peur. T’es fou !— Et la fille de tout à l’heure dans l’ascenseur, c’était ta cousine ?— Hmmm… Quand même… Tu y crois vraiment ?— Écoute ; si toi t’y crois pas, reste ici. Moi, j’y vais et je te raconterai.— Non, non, je viens.— Ah ah ! Tu vois, mon salaud, timoré mais pas stupide….. Quand Cédric décida que le décompte était bon, nous descendîmes au vestiaire qui était un niveau plus bas. Nous entrâmes ; et comme cet incroyable cochon l’avait prévu, on pouvait entendre la douche couler bruyamment et on pouvait également voir, posés sur le banc à côté d’un sac, la ...
... blouse bleue ainsi qu’une culotte et un soutien-gorge blancs sur lesquels était posée en bouchon une paire de collants couleur chair. Cédric s’approcha discrètement du banc, tout content que le début de sa théorie se vérifie, prit le soutif et me montra dans une sorte de langage des signes bien à lui que la fille avait de petits seins ; cela semblait le décevoir un peu. Il prit ensuite d’une main la culotte et de l’autre les collants, et commença à y frotter son nez et sa bouche en connaisseur, avec une délectation certaine mais étouffée. Il me fit ensuite le signe classique du pouce « tout est OK », ce qui me fit bien rire. Il me tendit alors les deux sous-vêtements et, emporté par sa fougue à lui, je me mis à humer et capter l’odeur forte, envoûtante, troublante qu’a toujours la lingerie de la femme que l’on désire… À ma grande surprise, les collants sentaient plus fort que la culotte. La douche coulait toujours. Et moi je commençais à bander : concernant mon ami, je ne me posais même pas la question. Je reposai précautionneusement le tout sur le banc ; à ce moment, Cédric se mit à me parler à voix haute, ostensiblement un peu plus fort que la normale : alors la douche s’arrêta de couler immédiatement. Elle reprit après deux ou trois secondes ; nous ne pouvions évidemment pas voir à l’intérieur, mais presque aussitôt après la fille sortit la tête pour voir qui était là, et nous vit. Un mélange de surprise, de gêne et d’interrogation se lisait sur son visage ; elle finit quand ...