1. 1er stage


    Datte: 07/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... grosses fesses ». Au moins après quelques jours, les larmes ne lui montaient-elles plus aux yeux. Ces deux-là, Jocelyne et Mélissa, n’étaient pas très appréciées de leurs collègues. Les propos étaient mesurés, parce que Jocelyne était « chef », mais Karine avait malgré tout surpris quelques mots, « peau de vache » pour Jocelyne, pour Mélissa « salope » et « vicieuse », mais n’était pas très inquiète malgré tout : deux femmes, deux collègues, dans un hôpital, ça ne pouvait pas être trop méchant. Elle les a suivies dans les couloirs, jusque dans la salle de soins à côté des labos d’analyse désertés du samedi midi au lundi matin. — Le plus important, la base, c’est d’être toujours propre sur toi, jusqu’au moindre détail, ne rien laisser de côté. Pas question de les rendre plus malades qu’ils ne sont. Alors les saletés du dehors, faut les laisser dehors. Enlève ta blouse, faut qu’on t’explique ! Les détails Karine, les détails ! Elle a rougi, hésité, cherchant des yeux la sortie, prête à s’enfuir quand Mélissa s’est approchée l’air excédé et a elle-même déboutonné sa blouse, l’a brutalement fait glisser de ses épaules et l’a jetée sur une chaise. Jocelyne tournait autour d’elle qui baissait la tête sous le regard et tenait ses doigts croisés devant la culotte rose pâle tirebouchonnée au pli du ventre, levée haut à la taille dans le dos. — Blanc ! il faut des dessous blancs ! C’est mieux. Tu en changes tous les jours, j’espère ? Fais voir ta culotte. Allez, dépêche-toi, donne ! ...
    ... Se mettre nue la gênait, même devant sa mère elle ne faisait plus, s’enfermait à clé matin et soir dans la salle de bain. Jocelyne bousculait, Mélissa attendait les bras croisés. Les joues cramoisies, elle a baissé sa culotte, l’a tendue en boule. Elle savait que sans doute elle était tâchée, comme elle le voyait tous les soirs quand elle se changeait pour la nuit. Mélissa dépliait le coton de deux doigts, pinçait les lèvres et secouait la tête, l’air atterrée, lui montrait la petite trace, comme une croûte jaune, à l’entrejambe, jetait la culotte sur la blouse. — T’es pas propre ! ça tombe bien, dans le fond. Première leçon : la semaine prochaine tu participes à la toilette du matin, on va te montrer. Mélissa ! Monte sur la table d’examen. Mortifiée, c’est peu dire. A l’école tous les soins étaient montrés sur des mannequins, et le mannequin aujourd’hui c’était Mélissa qui déboutonnait sa blouse et s’allongeait en lui jetant un regard égrillard. Jocelyne la poussait d’une main dans le dos vers la table. — La toilette, c’est important ! Il faut bien laver partout, sinon c’est l’infection ! Tournée vers elle, Mélissa la regardait approcher, lorgnait son ventre nu qu’elle montrait du doigt : — T’as vu ça ? Des poils tout raides comme la chinoise de la 212 ! Et puis longs en plus ! regarde-moi ça ! Tu les coupes jamais ? — Elle est pas chinoise. Vietnamienne ! T’as des viets dans ta famille, Karine ? Mais elle a raison, faut les couper tout courts, je compte sur toi ! Karine ...
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