1. 1er stage


    Datte: 07/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... hochait la tête et grimaçait, parce que pour montrer la longueur, Mélissa tirait sur ses poils, étirait les lèvres de son sexe. Jocelyne lui a tendu des gants, un paquet de lingettes et un flacon de lait de toilette : — Allez ! Montre-nous ce qu’on vous apprend à l’école ! fais-lui sa toilette, et lundi, on te laisse la chinoise, tu verras ! Elle aime bien qu’on la frotte partout ! Pas très dégourdie mais quand même, Karine se doute depuis le début que tout ça n’est pas bien normal. Tout se mélange dans sa tête. Elle sent ses joues brûlantes et ses oreilles bourdonnent. Elle voudrait se rhabiller, s’échapper, s’enfuir. Mais comment s’échapper ? Se plaindre ? A qui ? Elle n’imagine pas pouvoir en parler à qui que ce soit. Alors Karine obéit à Jocelyne, sa chef, à Mélissa qui lui fait elle aussi un peu peur. Blouse ouverte sur son soutien-gorge et sa culotte, Mélissa attend, et Karine ne sait pas quoi faire, par où commencer. — Gâche pas les lingettes, le principal ; c’est les fesses et la chatte, pour la figure, elles font toutes seules ! Karine retire son slip à Mélissa, les joues brûlantes sous son regard moqueur, prend la lingette des mains de Jocelyne et la passe entre les fesses avant de remonter vers le sexe aux lèvres rasées surmontées d’un petit triangle de poils bruns et ras. — Mais non ! T’es nulle ! Jamais le cul et la chatte avec la même lingette ! On t’as rien appris ? Karine recommence, sous les ordres de Jocelyne, suit ses indications, frottant partout, ...
    ... obéissante. Elle suit toutes les instructions que Jocelyne lui donne en lui pinçant les fesses ; elle écarte les grandes lèvres ; ouvre et lisse les petites lèvres brunes ; retrousse le capuchon du clito de l’autre main pour passer la lingette entre les jambes complaisamment ouvertes de Mélissa qu’elle n’ose pas regarder et qui ricane : — Allez petite ! Fais ça bien ! N’aie pas peur, c’est pas fragile ! Tu verras la chinoise, il te faudra une lingette pour l’éponger à la fin ! Un claquement de porte dans son dos : — Alors les filles ! On s’amuse sans moi ? — On t’as pas invité José ! — C’est bien ce qui me désole ! Vous êtes pas sympa ! Karine s’est redressée, mortifiée, trop consciente de ses fesses nues. En cachant son ventre de ses mains elle se précipite pour récupérer sa blouse, tête baissée, refusant de croiser le regard de l’infirmier qui vient de les rejoindre. — Eh ! Te sauve-pas comme ça ! Vous lui apprenez pas à faire la toilette des mecs ? Je suis volontaire ! Karine se faufile dehors avant qu’on la retienne en serrant les pans de sa blouse devant elle. Elles l’ont laissée repartir, mais sous sa blouse elle ne porte plus de culotte, elle ne l’a pas récupérée, pressée de s’enfuir. Pendant une heure, jusqu’à la fin de son service, Karine se cache, dans le placard des produits d’entretien au début, ensuite erre dans de couloir en couloir en prenant l’air occupée en serrant sa blouse d’un poing serré contre ses jambes. Elle guette que le vestiaire soit vide pour aller se ...
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