1er stage
Datte: 07/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... changer avant de quitter l’hôpital. Pour ses dessous blancs, elle ne savait pas trop si c'était vrai ou faux, si sa chef vérifierait ou pas, alors samedi, elle fait des courses. Elle n'a rien dit à sa mère. Elle a compté ses économies. Dans le supermarché elle craque, deux ensembles, culottes et soutien-gorge, un peu effarée par les prix malgré tout. Les plus jolis dessous qu'elle ait jamais eus. Elle aurait pu économiser, c'est sûr, mais ceux qu'elle choisit lui plaisent tellement ! Elle commence sa deuxième semaine la peur au ventre. Peur que Jocelyne, sa chef, lui reproche de s’être enfuie, peur de ce qui l’attend cette semaine. Elle porte l’un des ensembles qu’elle s’est acheté le week-end, toute fière de ses dessous neufs. Sur le tableau de service à l’entrée de la salle de garde, elle voit son prénom à côté de celui de Mélissa et serre les poings enfoncés dans les poches de sa blouse, craignant pour cette journée. — Prend le chariot ! Tu me suis ! Tout au fond du couloir, c’est la chambre de celle qu’elles appellent la chinoise. Karine le sait, elle y a déjà fait le ménage la semaine précédente et servi les repas. Sur le lit, la dame la regarde entrer et sourit à Mélissa : — C’est elle, la stagiaire ? On se connaît déjà, toutes deux, pas vrai ? — Oui madame. Karine pousse le chariot vers la fenêtre de l’autre côté du lit, du côté droit de la femme où elle peut approcher sans être gênée par la jambe maintenue dressée en extension par un berceau et un câble fixé à une ...
... potence au pied du lit. Elle tremble un peu, sentant la présence de Mélissa dans son dos. — Allez ma grande ! A toi de jouer, comme on t’a expliqué ! Karine croise un instant le regard amusé de la ‘chinoise’ et baisse les yeux pour faire glisser le drap, fronce les sourcils en voyant Mélissa étendre le drap sur la jambe dressée, formant comme un écran entre Karine et la porte de la chambre restée ouverte. Sous le drap, la patiente est nue et Karine ne peut s’empêcher de la détailler. De petits seins ronds aux aréoles très brunes, presque noires, un ventre plat et une toison brune, de longs poils raides et fins en une ligne étroite verticale qui plonge jusque entre les cuisses. Elle enfile ses gants et prend une lingette sur le chariot et reste en suspens un instant, hésitant à poser la main sur cette femme dont elle sent le regard fixé sur elle, comme elle sent la présence de Mélissa dans son dos. Tout doucement d’une main sur le genou elle tire vers elle la jambe valide de la patiente, et glisse la lingette entre les jambes, la pousse entre les fesses et en se mordant la lèvre se souvient de ne pas remonter vers le sexe, jette un rapide regard vers Mélissa avant de continuer. Elle change de lingette et cette fois nettoie le sexe, glissant la lingette entre les fines lèvres. La femme écarte plus grand la cuisse jusqu’à coller son genou au ventre de Karine et de sa main droite, celle qui n’est pas plâtrée, ouvre elle-même son sexe à deux doigts : — Tu nous laisses, Mélissa ? Je ...