1er stage
Datte: 07/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... pas vu la culotte de Karine enroulée autour d’une de ses chevilles et la main de la patiente qui fouillait son sexe à trois doigts. — Alors, tu fais ta sainte nitouche, ta timide, mais à ce qu’il paraît que t’as des doigts de fée ? Jocelyne l’avait convoquée en fin de semaine pour « faire le bilan » de ses deux premières semaines. Karine a haussé les épaules sans rien répondre. — J’ai bien envie de t’envoyer chez les hommes la semaine prochaine ! On verrait bien si t’es aussi douée avec eux ! Et puis eux, au moins, ils causent, ils nous raconteraient ! Pas comme cette chinoise ! Bon ! Montre voir si tu m’as obéi ! Enlève cette blouse. Jocelyne attendait les bras croisés, installée derrière le bureau des internes déserté qu’elle avait réquisitionné pour « son bilan » avec la stagiaire. Se rebeller ? C’était le moment où jamais … Mais Karine n’en avait pas envie. Les mauvais traitement de Mélissa et de Jocelyne, tant pis, elle ne dirait rien. Elle avait décidé ? Pas vraiment, juste accepté. Elle s’est approchée du bureau et l’a contourné pour venir à côté du fauteuil de Jocelyne et a enlevé sa blouse. — C’est bien ! c’est blanc ! Du bout du doigt Jocelyne jouait avec le petit nœud de satin à la taille de la petite culotte de Karine. — Et le reste ? T’as débroussaillé ? Sans attendre la demande, Karine s’est penchée et a baissé sa culotte à hauteur de ses genoux. Elle ne souriait pas, restait impassible, ne regardait pas Jocelyne, restait les yeux perdus dans le vague, ne ...
... prêtait aucune attention à cette femme qui jouait de son autorité et était au final déstabilisée par l’attitude de Karine. — T’es bizarre, toi ! Je te demanderai n’importe quoi, ça serait pareil ! Karine a haussé les épaules. — Mais dis quelque chose ! T’es quoi ? Muette ? — … une chose. — Hein ? — Vous me traitez comme une chose, alors je suis une chose. — T’es cinglée, ma pauvre fille ! Nouveau haussement d’épaules. — C’est à quel moment, qu’il va entrer ? — De quoi tu parles ? — José. Il est derrière cette porte, là. Vous vouliez qu’il me voit nue ? Comme la dernière fois ? Parce que je suis moche et grosse ? Que je dis jamais rien ? Vous voulez quoi ? Moi je m’en fous. — T’es malade ! — Moi ? Peut-être … et vous ? — Tu mériterais … Jocelyne est sortie en ouvrant en grand la porte de communication où José attendait, a claqué aussi la porte du bureau en le quittant. Karine n’a pas bougé quand José est entré. Karine ne le regardait pas, ne l’a pas vu hésiter, n’a pas vu son sourire mauvais se plaquer sur son visage quand il s’est décidé. Il a fait le tour du bureau et a baissé son pantalon et son slip avant de s’asseoir dans le fauteuil que Jocelyne venait de quitter. — Tu fais les mecs aussi ? Suce, salope ! Il tenait son sexe d’une main et se caressait lentement pour se faire bander. Karine s’est agenouillée entre ses genoux et a avancé la main. — Non ! les mains dans le dos ! que ta bouche ! C’était ce qui se passait dans les toilettes des filles au Lycée ? Sans doute … Elle a ...