Matin et midi de Monsieur
Datte: 30/08/2017,
Catégories:
fhh,
couplus,
inconnu,
caférestau,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fdanus,
fsodo,
lavement,
glaçon,
couple+h,
fsoumisah,
... De son côté, Monsieur, gêné, ne semble pas trop d’accord. Mis à part quelques mains sur mes genoux et mes cuisses, le repas se déroule normalement, nous parlons de tout et de rien, même si mes deux hommes ne me regardent pas précisément dans les yeux mais plus bas. Il est vrai que la faible épaisseur de tissu ne doit pas cacher grand-chose de ma poitrine offerte. D’ailleurs, le serveur, qui est venu nous apporter nos plats, louchait fortement dans ma direction ! Une fois son plat fini, Maître s’excuse d’avoir quelque chose à faire et nous quitte momentanément. Aussitôt que nous ne le voyons plus, Monsieur se penche vers moi : — Son histoire de danser sur la table, il était sérieux ?— À moitié… à moitié… Monsieur…— Il te fait faire parfois des choses… incongrues ?— Parfois n’est pas le bon mot. Remplacez-le par « souvent »… Monsieur ouvre de grands yeux avant de lâcher : — Ah bon ?— Oui, je suis sa soumise, il est mon Maître…— Et ça vous convient ?— C’est le jeu… Si ça ne me convenait pas, je ne le ferais pas.— En effet… Je te sers à boire ?— Oui, merci ! Ah tiens, le monsieur de tout à l’heure n’est plus à sa place. Tant mieux, je préfère éviter son regard en attendant ! Je n’aime pas trop me faire surprendre, même si ça donne des frissons et une bonne dose d’adrénaline. Mon Maître et mari revient du petit coin. À l’insu de notre invité, il dépose un petit papier, un post-it qu’il colle sur la banquette juste à côté de ma jambe. Il en a toujours dans ses poches pour ...
... m’indiquer ses ordres selon son humeur quand nous sommes dehors, ou même dedans. Dessus une phrase à l’apparence banale : «Va faire pipi ». Puis en dessous, «Un autre post-it t’attendra là-bas ». Un autre post-it ? Là-bas, à la vue de tout le monde ? Il est fou ! Je me lève assez brusquement, en m’excusant : — Pardon, je dois, moi-aussi, vous quitter !— N’oublie pas de revenir !— Oui, Maître ! Excusez-moi. Et je me hâte en me déhanchant vers les toilettes, sans prendre gare aux regards qui me suivent. Des talons de douze, c’est esthétique, mais ce n’est pas très pratique. Arrivée, sans m’être foulée les chevilles, aux toilettes nichées au fond d’un couloir un peu sombre, je vois deux portes l’une à côté de l’autre : homme et femme. Je regarde autour de moi, où est ce fichu post-it ? Il ne l’a quand même pas mis chez les femmes ? Et je ne vais quand même pas entrer chez les hommes pour vérifier ! Soudain la porte des hommes s’ouvre et je tombe nez à nez avec l’homme au pouce levé ! Alors que je rougis, celui questionne : — Ce n’est pas ce post-it que vous cherchez ?— Que ? Il me tend un petit morceau de papier sur lequel je reconnais l’écriture de mon Maître, même si le post-it est à l’envers. Avant que je prenne ce billet, mon vis-à-vis me complimente : — Permettez-moi de vous féliciter, aussi bien pour votre tenue et pour votre docilité.— Ah, euh, merci…— Je suis très heureux de rencontrer une femme telle que vous ; honnêtement, je croyais qu’elles n’existaient que dans les œuvres de ...