1. Matin et midi de Monsieur


    Datte: 30/08/2017, Catégories: fhh, couplus, inconnu, caférestau, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, fsodo, lavement, glaçon, couple+h, fsoumisah,

    ... fiction ou dans les milieux hi-jets. Pour toute réponse, je souris. Assez nerveuse, je joue avec le post-it, tandis que cet inconnu, qui parle plutôt bien, me dévore du regard. Il est évident que je lui fais un certain effet, son pantalon en témoigne ! Mais ça ne semble pas trop le traumatiser de me montrer son désir. C’est d’une voix assez calme qu’il me dit : — Je crois que votre Maître vous a laissé un petit mot.— Ah oui… c’est vrai… Comment vous avez su que…— Je pourrais mentir et dire que c’est l’intuition. En réalité, j’ai compris que c’était vous à vos talons-aiguilles, au son qu’ils font sur le carrelage. Surtout qu’ils ne sont pas petits…— Bien deviné !— Puis-je connaître au moins votre prénom ?— Valérie… Et vous ?— Ça vous va bien… Pour moi, c’est Max J’esquisse un sourire, il le remarque : — Ai-je dit quelque chose de curieux ou de drôle ?— M pour Max, comme M pour Maître et M comme Monsieur…— J’avoue que je ne comprends pas…— Maître et Monsieur, c’est ainsi que j’appelle les deux hommes qui m’accompagnent. De plus, Monsieur se prénomme Marc. Le règne des M…— Monsieur est un invité régulier ?— Non, non, épisodique. Alors que je porte le post-it à la hauteur de mon visage, je ne peux m’empêcher de penser que cet homme a des points communs avec mon mari, sauf l’âge, entre quinze à vingt ans les séparent. J’écarquille les yeux quand je lis la consigne : «Donne satisfaction à Monsieur qui te donne ce billet ». Je tourne la tête pour vérifier si personne ne vient ...
    ... s’aventurer dans notre couloir. Je fais quoi ? J’obéis ou pas ? Il est indéniable que c’est bien l’écriture de Maître. Comme si je regardais un film, je m’entends répondre : — Vous contenter comment, Max ?— Pour commencer, j’aimerais sentir vos doigts sur la bosse de mon pantalon, bosse que vous n’avez pas manqué de remarquer, n’est-ce pas ?— Bien qu’il fasse un peu sombre, je dois reconnaître qu’il serait assez difficile de ne pas la remarquer !— C’est l’effet que vous me faites. D’ailleurs, dès que vous êtes entrée dans le restaurant, je reconnais avoir eu quelques difficultés à rester zen… Du bout des ongles, je tâte la tige qui se cache sous le tissu, il pousse un petit soupir de contentement. Tout en le caressant plus posément, je poursuis la conversation : — Pourtant la femme qui est avec vous n’est pas mal du tout…— Oui, mais ce n’est pas vous !— Ah bon ?— Je ne saurais pas bien décrire les choses, sauf en disant que vous êtes comme une femme qu’on ne voit qu’en rêve, ou en fantasme. On ne s’attend pas à ce que vous soyez réelle !— Vous exagérez ! Je ne suis qu’une simple femme ! Il rit doucement : — Une simple femme ? Vous savez que vous plaisez, que vous êtes belle, et en plus, vous êtes libertine, et docile…— Docile ?— N’êtes-vous pas en train de me caresser à l’instigation de votre Maître ?— Si, en effet… Soudain, il me capture le bras, et m’entraîne dans les toilettes des hommes. Je suis trop surprise pour réagir tout de suite. En un clin d’œil, nous voici enfermés dans ...
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