Matin et midi de Monsieur - Histoires de Sexe

Matin et midi de Monsieur

... une cabine. Mon inconnu avoue : — J’aurais préféré un meilleur cadre pour notre premier contact, mais quand la Fortune passe à portée de main, il faut savoir la capturer par les cheveux…— Premier contact ?— J’espère bien vous revoir tôt ou tard…— Si mon Maître le souhaite…— Docile jusqu’au bout ? Très bien, votre post-it exige de me contenter, c’est un ordre de votre Maître. C’est fou ce qu’il peut ressembler à mon mari et Maître, c’est sans doute pour cela que je me laisse faire de la sorte. Je réponds d’une voix douce : — Ce n’est pas à moi de prendre l’initiative, Max, je ne suis qu’une soumise… C’est à vous de me diriger… d’ordonner…— Il est dommage que nous ayons peu de temps devant nous. Et si je vous disais : plantons tout le monde et quittons ce restau pour être seuls tous les deux, vous diriez quoi ?— Merci de votre enthousiasme mais que vous n’êtes pas mon Maître…— Je me doutais bien d’une telle réponse… Je m’approche de lui, et je repose ma main sur sa bosse afin de le caresser à nouveau, mais plus sensuellement. Je le regarde dans les yeux : — Les aiguilles tournent, vous n’allez plus savoir justifier votre absence… Décidez-vous.— Une dernière question, Valérie : je dois dire « vous » ou « tu » ?— Vous êtes le Maître par procuration, vous décidez, je suis votre chose, enfin dans certaines limites, car vous n’êtes pas mon vrai maître. Il hoche la tête puis se décide : — Agenouille-toi et suce-moi !— Bien, Maître ! Agenouillée, je révèle à la lueur blafarde une ...

... queue bien faite que je câline d’abord de mes lèvres et de la langue. Décidément, ce sera le week-end des fellations ! Mais pour cette belle bite, je ferai une exception de plus… Puis sans plus tarder, je l’absorbe en bouche pour la sucer le plus voluptueusement possible. Pendant ce temps, il caresse délicatement mes cheveux, il ne cherche pas à me forcer à l’avaler complètement comme tant d’hommes. Je ressors sa tige de ma bouche, pour aller suivre ses veines palpitantes jusqu’à la base, à l’orée des testicules glabres. Après quelques lècheries vicieuses, je gobe une couille, elle épouse parfaitement l’intérieur de ma bouche ; de la langue, je joue avec elle, suavement. Un petit tressaillement m’indique qu’un geyser est prêt à rentrer en action. Alors délaissant ce bonbon improvisé, j’accueille à nouveau dans ma bouche ce gourdin de chair qui ne demande qu’à exploser. Creusant les joues, j’aspire, augmentant la pression autour du gland que je taquine du bout de la langue. Ses doigts se raidissent dans mes cheveux, une longue salve de sperme envahi ma bouche, suivie d’autres. Tandis qu’il se vide, je bois cette nouvelle liqueur un peu acre mais pas désagréable. Un dernier nettoyage, et je me relève. Il reprend petit à petit ses esprits : — Vous êtes douée ! Pardon, tu es douée ! Très douée !— Merci, Maître !— Ça va être encore plus dur de vous… de te laisser partir !— Ce sont les règles du jeu.— Un jeu… vu sous cet angle… Fais voir tes seins, que je les admire ! Non, enlève ...