Prêté par ma patronne
Datte: 08/07/2019,
Catégories:
hagé,
Collègues / Travail
volupté,
hsoumis,
fdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
portrait,
J’étais à peine revenu chez moi, vers 20 heures, que le téléphone sonnait : c’était ma nouvelle patronne, Odile. Elle m’expliqua qu’en définitive, si elle était toujours d’accord pour m’embaucher dans son magasin, elle pensait qu’il serait préférable que j’aille d’abord me former chez sa jeune sœur, Isabelle, qui tenait une librairie spécialisée dans les ouvrages de bibliophilie en centre-ville. Elle m’indiqua que, ne cachant rien à sa sœur, elle l’avait avertie de mon caractère docile envers les femmes et lui avait même rapporté, sans trop de détails cependant, la façon dont elle m’avait utilisé pour son plaisir. Elle me dit qu’elle me prêtait à sa sœur pour au moins deux semaines, et même tant que celle-ci aurait besoin de mes services pour terminer son inventaire des ouvrages qu’elle proposerait dans son prochain catalogue. Elle me donna l’ordre de servir sa sœur en tout et comme elle le souhaiterait, avec autant de docilité que j’avais pu mettre à la servir à genoux dans son bureau, la veille. Elle m’avertit que sa sœur était une femme très réservée, d’un caractère assez difficile, voire très autoritaire par moments, et qu’il me faudrait probablement subir ses sautes d’humeur. Ce caractère difficile et indépendant avait fait fuir les hommes, et elle aussi était seule, d’autant qu’elle s’était refusée à céder aux appétits des hommes qu’elle avait pu attirer en tant que « coup du moment ». En clair, elle me demandait d’être pour quelques semaines l’employé soumis, et ...
... éventuellement l’homme-objet de sa sœur. Elle me prêtait à cette dernière comme on peut prêter un objet domestique pour rendre service. L’idée même d’être ainsi traité en objet, d’être partagé entre ces deux sœurs, et donc d’être admis au cœur de leur intimité de femmes, m’excitait au plus haut point. Cela répondait à mon fantasme d’être totalement soumis au désir d’une femme, d’abdiquer toute volonté entre ses mains, de m’en remettre à sa seule volonté, de satisfaire chacune de ses exigences. J’avais, depuis la veille et sa prise de possession de mon corps et de mon âme, l’envie d’être au plus près de son intimité, dans ce qu’elle avait de plus personnel, de plus secret. Je rejoignais le rêve de la nuit précédente où, le nez enfoui dans la culotte qu’elle m’avait jetée au visage, je rêvais d’être, sous sa robe, l’entrejambe de cette culotte, la partie qui avait le bonheur de respirer l’odeur enivrante de son sexe, de recueillir les sucs goûteux de son vagin, les dernières gouttes quand elle se relevait de la cuvette en remontant vite sa culotte. Rien que de penser à tout cela – et j’y avais pensé toute la nuit –, je devenais fou d’amour et de désir pour elle. Après maintes autres recommandations qui faisaient de moi l’employé et l’amant potentiel de sa sœur, elle me donna enfin l’adresse de la librairie où je devais me présenter le lendemain, vers 10 heures. ---oooOooo--- C’était une superbe librairie installée au bas d’une grande maison en pierre de taille du début du XVIIIe ...