Prêté par ma patronne
Datte: 08/07/2019,
Catégories:
hagé,
Collègues / Travail
volupté,
hsoumis,
fdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
portrait,
... appelée de bonne heure par un important collectionneur qui souhaitait réduire sa bibliothèque et qui désirait donc la voir passer chez lui pour en discuter. N’ayant pas encore confiance dans mes capacités, elle se résolut à fermer sa librairie, tout en m’y laissant poursuivre mon travail pour ne pas perdre de temps dans la préparation du catalogue. Elle m’avertit qu’elle serait absente au moins deux heures, et que durant ce laps de temps elle m’enfermerait à l’intérieur. À l’annonce de ce contretemps, je me réjouis intérieurement : j’allais avoir l’occasion et le temps de pénétrer dans son intimité…, Dès que je fus certain de son départ, je me précipitai dans son appartement à l’étage, cherchant sa chambre, sa salle de bains, et négligeant le reste. Je trouvai sa chambre, superbement meublée en Louis XVI authentique, avec là également un superbe tableau et deux pastels aux murs, des rideaux en tissu broché qui faisaient régner une douce pénombre. Un Christ régnait sur le lit, une bible occupait le marbre d’un chevet en acajou. Cette chambre était soigneusement tenue, probablement par une femme de ménage. Avisant une commode, je me précipitai pour ouvrir ses tiroirs : ceux du haut renfermaient des chaussettes de toutes sortes, des collants et des bas dans lesquels je ne pus me retenir d’enfouir mon visage, afin de profiter de leur douceur, et aussi pour y chercher l’odeur de ma patronne. Les deux autres tiroirs étaient un petit paradis de culottes, de soutiens-gorges et de ...
... jupons de toutes natures… Me connaissant, je regardai ma montre afin de ne pas me laisser surprendre… Et une heure durant j’inspectais, enfouissais mon visage, reniflais tous ces trésors de féminité. Je commençai par déplier, une par une, avec le plus grand soin, chacune de ses culottes. Il y en avait beaucoup, surtout des blanches, toutes simples, enveloppantes, avec un large entrejambe gainé de coton, merveilleuses de douceur, émouvante de blancheur et de pureté. Des culottes de vierge ou de femme très sage. Il y en avait des noires, des roses, d’autres dans les tons pastel, toutes fleurant bon le délicat parfum d’une femme soignée. J’y cherchais le parfum du sexe de ma patronne, mais bien sûr tout était net, désespérément net… Les soutiens-gorges, avec leurs bonnets peu profonds de jeune fille, étaient eux aussi très émouvants. Puis je passais aux porte-jarretelles, aux jupons frais dans lesquels je cherchais vainement une odeur. Mais l’heure tournait et il fallait que je redescende, vite, vite, pour avancer un peu mon travail. J’espérais retrouver prochainement l’occasion d’aller explorer sa salle de bains, où devait normalement se trouver un bac à linge, où je retrouverai cette fois l’odeur intime de ma patronne dans ses sous-vêtements. Rien que d’y penser ma verge devint soudain dure et j’eus toutes les peines du monde à faire retomber mon excitation avant que ma patronne ne revienne. Le reste de la journée se passa comme précédemment, mais la soirée allait apporter de la ...