Prêté par ma patronne
Datte: 08/07/2019,
Catégories:
hagé,
Collègues / Travail
volupté,
hsoumis,
fdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
portrait,
... siècle, dont ma patronne m’avait expliqué qu’elle avait été bâtie par l’un de ses ancêtres et qu’elle constituait une partie de l’héritage échu à sa sœur à la mort de leur père. La librairie était fermée et je sonnais, comme ma patronne me l’avait indiqué, à la superbe porte Louis XV se trouvant à côté de la porte de la librairie. Quelques instant plus tard, la sœur de ma patronne vint m’ouvrir et me fit monter sans tarder jusqu’à un grand salon établi au premier étage. Arrivé dans ce luxueux salon, pourvu d’une cheminée en marbre et d’un superbe mobilier Louis XV, avec plusieurs pastels représentants des portraits bourgeois, j’eus le temps de regarder subrepticement ma seconde patronne, pendant qu’elle me détaillait sans rien dire, probablement pour comparer ma personne à ce que sa sœur avait pu lui en dire. Je me trouvais face à une femme assez grande, peut-être 1,75 m. Elle était brune, mais la carnation de son visage était étonnamment claire, et ce d’autant plus que son visage était largement poudré, ainsi qu’on le faisait naguère. Ce maquillage faisait ressortir ses lèvres minces, d’un rouge soutenu, qui contribuaient à lui constituer un visage de porcelaine. On percevait qu’Isabelle cherchait à se dissimuler derrière ce maquillage, certes de bon goût, mais trop accentué pour son âge. Sa chevelure, coupée à mi-hauteur des tempes, contribuait tout autant à la vieillir et à lui donner un aspect, sinon sévère, du moins très sérieux. Sa vêture s’accordait avec sa coiffure et ...
... son maquillage. Elle portait une longue et large robe de couleur bleue marine, un chemisier blanc orné d’une superbe broderie, assez transparent, un petit gilet fin de même couleur que sa jupe, qui laissait apparaître un collier de fines perles encadrant le col Claudine de son corsage. À travers la transparence de son fin chemisier on devenait une paire de petits seins, peut-être un peu tombants, retenus par un soutien-gorge très englobant, très sage, pas du tout le type de sous-vêtements osés vendus dans les boutiques de lingerie du centre-ville. Elle portait un collant ou des bas de couleur chair et une paire de chaussures vernies, de couleur noire. C’était quelque peu difficile de lui donner un âge, tant sa vêture, sa coiffure, son allure était classique, voire même un peu désuète au regard des canons actuels. Mais elle semblait bien avoir près de 40 ans, peut-être un peu moins. Quel que soit son âge, elle était en tout cas d’une distinction peu commune, qui rappelait celle de la bourgeoisie provinciale de naguère, celle que l’on peut encore observer à la sortie des églises, chez les paroissiennes bien nées, et qui se veulent encore traditionalistes. Cette élégance, cette distinction un peu désuète, trahissaient non seulement une certaine aisance matérielle, mais également la délicatesse, le raffinement d’une femme déjà mûre, dont on percevait au moins le goût pour les belles choses, si ce n’est l’âme d’esthète. Le superbe mobilier de son salon confirmait d’ailleurs cette ...