1. La dette - 03


    Datte: 09/07/2019, Catégories: fh, fhh, extracon, inconnu, boitenuit, Oral pénétratio, Partouze / Groupe

    ... Elle s’était glissée directement sous sa jupe, sans hésitation, forte et décidée sans qu’elle ne puisse faire le moindre geste, paralysée par la surprise. Les doigts se faufilaient partout, l’explorant sans ménagement, glissant sur son sexe trempé, entre ses fesses offertes. Elle aurait dû s’offusquer, le gifler, fuir, mais rien de tout cela ne se produisit. Son corps réagissait bien malgré elle et recevait la caresse comme une délivrance. Déjà, son bassin commençait à rouler langoureusement, incontrôlable. — On en a vues des cochonnes dans le salon de Monsieur, mais toi t’es la meilleure. Tu nous as fait un sacré spectacle tout à l’heure, ma belle. Deux doigts s’enfoncèrent dans sa chair intime. Ses jambes s’ouvrirent un peu plus pour leur laisser le champ libre. — Putain, mais tu mouilles comme c’est pas permis… T’aimes vraiment ça, toi ! Les doigts ressortirent et se mirent à masser son petit œillet qui fut bientôt aussi souple et mouillé que son abricot. La main prenait entièrement possession de son entrejambe, et bientôt elle régna sur tous ses sens, s’occupant à la fois de son petit bouton et de ses deux antres du plaisir. Son corps entier accompagnait les doigts qui la baisaient, et elle ne se souciait plus de se comporter comme une petite salope en s’empalant sur la main puissante. Ravageant tout sur son passage, la vague de plaisir monta si vite et si fort que l’homme dut la soutenir lorsqu’elle se laissa aller à son bonheur dans une absence divine. Un cliquetis de ...
    ... ceinturon la ramena à elle, et elle eut soudain l’esprit aussi clair que de l’eau de roche. Saisissant son sac, elle se redressa en se dégageant du bras qui la tenait encore et se rua vers la sortie. Elle eut juste le temps d’apercevoir le sexe massif et luisant que le grand Black s’apprêtait à planter entre ses cuisses. — Ah, ben quand même ! s’écria Marc en la voyant sortir.— Ils avaient paumé mon sac, ragea Kathy, les joues écarlates, feignant la colère.— Bon, c’est bon, on y va maintenant ?— C’est parti ! Et ils embarquèrent tous trois dans le gros 4x4 garé à quelques pas de là. __________________________ L’obscurité n’était fendue que par la mince lueur du réveil. Ma conscience s’éveillait doucement, tirée de mes songes par je ne sais quel tourment. J’avais l’impression d’être fait de coton alors que la vie reprenait possession de chacun de mes membres. Je tournai la tête vers l’afficheur digital rouge qui m’annonça 3 h 30. Mes gestes s’étaient naturellement tournés vers la place encore vide à côté de moi. Soudain, mon attention fut attirée par… oui, j’entendais bien des bruits inhabituels. Je tendis l’oreille, les cinq sens en éveil. Les bruits semblaient venir de chez nous, comme une conversation agitée. Je me levai et ouvris la porte de la chambre le plus discrètement possible. Il ne fit plus aucun doute que le bruit qui m’avait certainement réveillé venait de notre salon. J’enfilai un caleçon et décidai d’aller voir ; peut-être Kathy était-elle rentrée. La lumière qui ...
«1234...»