Les découvertes de Ludivine - 1 : Le pensionnat
Datte: 13/07/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
... elles en solitude et secret, parfois sous la douche ou tard dans le noir de la nuit, ne parlant avec un regard voilé et un sourire gêné que de cette fille de leur classe dont sa copine de chambre disait qu’elle se « masturbait » presque tous les soirs. Jamais elles n’en disaient plus, mais ce nouveau mot faisait rosir leurs joues. A l’entrée de la sœur, les deux filles se sachant en faute s’étaient figées, avaient pâli en reconnaissant sœur Thérèse. Elles s’étaient levées et placées chacune devant son lit, mains croisées devant elles, évitant le regard froid. La sœur à pas lents avait parcouru la chambre, bousculant d’un doigt les vêtements en désordre, ouvrant les armoires. Elle avait inspecté la salle de bain, en était revenue en tenant devant elle à deux doigts la petite culotte de Luce abandonnée sur le lavabo. Luce baissait la tête, et avait levé la main en réponse à l’interrogation muette de la sœur. — Vous devriez être couchées ! Que faisiez-vous sur ce lit, mesdemoiselles ? Des cochonneries ? En tenue de nuit ! Tout de suite ! Les deux filles avaient pris leurs chemises de nuit de drap blanc dans leurs armoires, éléments imposé du trousseau des pensionnaires de l’école. Elles échangeaient un regard pour savoir quoi faire : habituellement elles se changeaient l’une après l’autre dans la salle de bain après leur toilette du soir, salle de bain dont la sœur leur interdisait l’accès en examinant la petite culotte qu’elle tournait dans tous les sens entre ses doigts, ...
... levant un instant les yeux sourcils froncés vers une Luce aux joues cramoisies en lui montrant la longue trace jaune un peu croûteuse qui maculait le gousset de coton blanc. — Changez-vous ! Tout de suite ! Elles se sont déshabillées, se tournant le dos et tournant le dos à la sœur, affolées de la voir confisquer leurs chemises de nuit qu’elle jetait loin d’elles sur le dos d’une chaise, émettant un grognement de réprobation en voyant que Luce était nue sous sa jupe quand elle l’a enlevée : — Et voilà ! Petite dévergondée ! Il va falloir vous expliquer, maintenant ! Au pied de votre lit, mesdemoiselles ! Alors ? Que faisiez-vous à demi-nues sur ce lit ? — On parlait … on n’a pas vu l’heure … — Vous parliez ? Vous parlez mieux sans culotte, mademoiselle ? Tenant toujours la petite culotte entre ses doigts elle s’est approchée de Luce, a écarté sèchement les mains qu’elle tenait croisées crispées sur son ventre : — Pliez les genoux ! De longues secondes Luce n’a pas bougé, trop saisie par cet ordre de sœur Thérèse, qui s’est penchée vers elle, le visage à frôler celui de la jeune-fille : — Pliez – les – genoux ! Quand Luce s’est exécutée en tremblant, la sœur a plongé la main revêtue de la culotte entre ses jambes et en a essuyé le sexe qu’elle ouvrait de doigts durs sous le coton sans quitter Luce des yeux. Elle s’est reculée, a examiné le coton ; un sourire pincé a lentement étiré ses lèvres : — Eh bien eh bien … vous parliez … En regardant tour à tour les deux filles, elle ...