Technicienne de surface
Datte: 13/07/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
ecriv_f,
... », parce qu’à son avis il doit être encore puceau. Elle me semble quand même un peu vantarde. Il n’y a que des hommes dans ces bureaux et, si j’en crois à leurs alliances (ou plutôt à leurs absences d’alliance), ils sont loin d’être tous mariés. — Tu devrais essayer de le draguer, il est aussi timide que toi. En plus, il est mignon, vous pourriez vous entendre. Si tu veux, je pourrais même vous brancher.— NON, arrête, déconne pas !— Mais pourquoi, non ? Il est tout seul, tu es toute seule, je suis sûr qu’il va accepter.— NON ! Je te dis NON ! Non, c’est non.— Comme tu voudras ma choute, mais c’est pas non plus une solution de n’avoir personne pour te faire des câlins… À moins que tu ne sois un peu du pâturage ? Je tourne les talons, vexée, en haussant les épaules. Mais de quoi elle se mêle celle-là, elle n’est pas chargée de gérer mon devenir sexuel. Pourtant, c’est vrai qu’après avoir entraperçu le gars en question, cela commence à me trotter sérieusement dans la tête. Il a l’air lui aussi plutôt timide, discret, coincé, réservé et paraît surtout très choqué par la grossièreté de ma collègue. Et lorsqu’elle s’approche un peu trop près, près de la machine à café, lui au contraire s’éloigne d’elle. Et puis, c’est vrai qu’il a une belle petite frimousse. La salope, elle m’a mis l’eau à la bouche et je commence à en rêver. Le soir même, je me caresse dans mon lit en m’imaginant nue sur son bureau, entièrement soumise à son bon vouloir. Je décide d’aller le voir, d’essayer de ...
... faire connaissance. À partir de ce jour-là, je m’arrête un peu tous les soirs dans son bureau et nous discutons tous les deux de choses et d’autres. Nous avons même des points communs, puisqu’il a fait un peu les mêmes études que moi, mais dix ans auparavant. Je commence à m’attacher à lui, grave ! Géraldine me charrie : — Alors ton Pascal, quand est-ce que tu le décides à faire des galipettes ? Je te l’avais dit, il est plutôt beau gosse. Lorsque tu lui parles, ça doit être les grandes eaux dans ta petite culotte.— Pffuut. Arrête, déconne pas. Si je l’intéressais vraiment, il me ferait des avances, mais là rien, on ne fait que discuter de tout et de rien.— Et pourquoi c’est pas toi qui lui en fais des avances. Tu lui fais voir un bout de sein ou tu ondules du derrière en sortant de son bureau, les hommes sont sensibles à ce genre de choses. Maintenant, je me caresse presque tous les soirs en pensant à lui, ça devient une obsession. Un soir que Géraldine est encore en vadrouille, je ne sais où, ni avec qui, peut-être le gardien de l’immeuble qui lui a tapé dans l’œil, je me décide à tenter le tout pour le tout. Je m’arrange pour entrer dans son bureau à moitié débraillée, les boutons de la blouse entrouverts pour qu’il puisse apercevoir mon mini string et mes balconnets. J’ai choisi les sous-vêtements les plus sexy et les plus aguicheurs. — Bonsoir, je peux faire la poussière sur votre bureau ? Je tourne tout autour de lui, il se rince l’œil copieusement. Pendant ces dix ...